• 034/11 - Arf... je re-déprime!

    Arf zut... je re-déprime!
    Jeudi 3 février 2011 - (034/11)

    Après le message sensé de Sminette, j’ai été remontée à bloc, pleine de courage et tout, mais ça n’a duré que quelques heures, puis hélas, petit à petit, ma faiblesse a insidieusement repris le dessus. C’était un peu tout; le week-end qui approche, la St-Valentin aussi, l’absence de Thomas, cette autre fille dans la vie de Pascal...

    Je sais parfaitement que je dois garder mes distances avec Pascal et sa famille, bon sauf Thomas, que j’étais encore trop fragile sentimentalement. Hélas, je sentais que ma résistance commençait à s’ébrécher lentement, doucement.

    Peut-être que Thomas me manquait plus que je ne l’imaginais? En fait, je cherchais désespérément des explications à ce que je ressentais, pour m’aider à ne pas flancher, mais j’atteignais mes limites. Je pensais à Pascal non-stop; il sera seul le week-end, p-e avec cette fille, est-ce que je ne devais pas en profiter pour lui parler? Est-ce que Thomas m’avait fait surveiller? Rhhhhh, j’étais en loque.



    "Un jour tout se transformera en souvenirs, mais les moments qu'on aura passé ensemble... Je ne les oublierai... jamais..."

    Avec l’excuse que je l’appelais pour l’avertir que Thomas sera en Allemagne ce week-end pour le surveiller, j’ai appelé Pascal. Je me suis rendue compte que j’espèrais quelque chose et j’avais envie de l’entendre, d’entendre sa voix. Je n’aurai pas dû. Après le coup de fils, j’avais le moral au fond des chaussettes.

    Arf, ses intonations rauques, sa voix douce et chaude... Dire que ce n’était plus moi qui en faisait les faveurs. J’avais envie de le voir, d’être prêt de lui, sentir ses bras autour de moi, ce n’est que comme ça que je me sens heureuse. Mince... Je débloquais à fond!

    Thomas était rentré dans la journée, et le soir, comme il sera absent tout le week-end, on sortait avec ses potes. Je me sentais mélancolique, alors je suis restée collée à lui comme une limace. Ca lui faisait plaisir et il avait l’impression qu’il m’avait manqué. Du coup, ça ne le gênait pas qu’on soit séparé ce week-end, il avait l’espoir qu’il me manquerait encore plus.

    On a pas trop traîné avec ses copains, avant 23h, on est rentré se faire des tonnes de câlins.

    Malgré tout, j’étais toujours mélancolique... Je crois que Pascal me manquait et que rien, ni personne n’arrivait à combler le vide. J’ai peur de ne pas réussir à l’oublier. L’idée de me sentir aussi déprimée pour le restant de mes jours me déprimait ça de plus, avec la terreur par dessus.


    « 033/11 - Petite Dani & sa fille retour UK035/11 - Nina, Pascal, w-e en amoureux! (1s2) »

  • Commentaires

    Aucun commentaire pour le moment

    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :