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    Non d'un chien, on est en 2023... Hier seulement, c'était le 1er janvier 2022... Charrette... Déjà 2023!

     

     

    A la fin de l'école, je n'ai jamais pensé voir les années 2000, puis 2000 est arrivé, et maintenant voilà 2023! J'espère que cette nouvelle année va être meilleure que celle d'avant. Quoique, 2022 n'était pas si mauvaise après tout. Seul bémol qui me fait craindre pour 2023, c'est que j'ai sauté d'une année à l'autre malade comme un clebs!

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    Dim - 1er Jan 2023 - Longue séance de baise

    Tout ce que je voulais, c'était rentrer. Si seulement je pouvais sans que Pascal se sente abandonner. J'aurai voulu me creuser un trou, et m'enterrer dedans. J'étais en mode "ne rien voir, ne rien entendre, ne rien dire". J'ai été me cacher dans l'attique, en haut. Je ne voulais pas qu'on me trouve.

    J'avais pensé que Pascal et Caro irait dans notre chambre. Et eux pensait que j'étais dans la chambre, alors ils se sont enfilés dans l'attique. Ça c'était pas de chance. J'avais réussi à dormir et avait prévu de regagner notre chambre vers les 3 ou 4h du matin. Leur arrivée m'a réveillée... Zut.

    J'étais étendue sur le dos les bras en croix. Impossible de ne pas les entendre ce qui se passait en bas... C'était justement pour ne rien entendre que je m'étais planquée là. Mauvais choix. Rhhh. Je restais tranquille et attendu que ça se passe. Calée dans ses bras, Caro se rappelait leur 1ère fois, aussi à Nouvel An.

    Je l'ai entendu en parler, Des bisous bisous, des câlins. Caro a tendance à s'endormir assez rapidement après l'amour.

    Mais, j'ai entendu la porte. Encore? J'ai pensé jeter un œil, mais j'avais trop la flegme de bouger. Peut-être que Caro était partie? Ou Pascal? Tous les 2? Si j'avais su qu'ils viendraient ici, je serais allée me coucher dans notre chambre. Je pensais rester encore un moment comme ça, avant de retourner à la chambre.

    Puis, j'ai entendu des soupirs, des chuchotements, de petits cris, des râles.. Ils n'avaient pas encore fini? Aïïch...

    Mais quelque chose m'a interpelé, et je me suis tournée sur le ventre pour jeter un œil en bas. Caro dormait sur le ventre, un bras hors du lit. Ce n'était pas elle dans les bras de Pascal, c'était Natacha. c'était donc elle qui était arrivée quant j'ai entendu la porte tout à l'heure.

    Je me suis remise sur le dos. J'avais peur de m'endormir, et de louper la fenêtre pour retourner à notre chambre, dès qu'ils partiraient d'ici. Donc, les bras en croix, à regarder le plafond, j'ai attendu. Bon, j'ai failli m'endormir plus d'une fois. Pendant combien de temps allaient-ils encore s'envoyer en l'air!

    Au moins, je n'avais pas à me sentir coupable de ne pas avoir envie de baiser! Je me sentais plutôt soulagée.

    Enfin le calme, le silence... J'ai attendu encore une bonne 1/2h, avant d'aller me glisser contre Pascal. Il ne dormait pas encore, et il m'a prise contre lui. Je l'ai senti se coller contre moi, me faire des bisous dans la nuque. Il savait que je n'étais pas d'humeur à faire l'amour. Il n'a pas essayé de me forcer la main.

    Je les ai retrouvé le matin au petit déjeuner. J'avais le nez plongé dans mon assiette. Je ne participais pas, et voulais rester dans mon coin. Pascal ne m'a pas fichu la pression. Tant mieux. J'ai esquissé un sourire quant il m'a demandé si je voulais venir avec eux faire de la luge.

    Moi? De la luge? Rigoler? m'amuser? Pas vraiment non. J'ai secoué la tête. J'ai adoré son petit sourire. J'avais remarqué que Natacha me jetait de petits regards. Pascal ne faisait pas attention à elle, et je sentais qu'elle cherchait à capter son regard. Pascal m'avait préparé des œufs aux bacons.

    D'habitude, j'adore, mais là, je n'avais pas très faim. Il m'a dit qu'il ne pensait pas rester longtemps sur les pistes. Tous en fait. Ils avaient trop fait la fête, et tard, alors pour la plupart, ils ne voulaient pas prendre le risque d'aller skier ou surfer. On avait prévu de sortir manger ce soir.

    Ils ont encore fait la fête toute la nuit. Cette fois, je ne me suis pas sentie obligée de sortir. Je suis restée au chalet. J'ai lu, grignoter un peu, téléphoné à mon autre frangine. Je n'aurai pas dû, ça m'a tourné l'estomac. Est-ce qu'un d'eux n'aurait pas pu aller voir Papa aujourd'hui. Chiotte, en ce moment, je les déteste tous.

    Vu mon expérience d'hier soir, j'ai été directement me coucher dans la chambre à Pascal. Je ne l'ai pas entendu venir se coucher. Tant mieux. Je dormais. Enfin, je réussissais à dormir. Plongée dans le coma du sommeil, j'oublie tout. Le seul truc, c'est que je suis superstitieuse, et j'ai mal commencé l'année...

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    Lundi 2 Jan 2023 - Maison moi

    Au petit déjeuner, Pascal m'a demandé quant je voulais rentrer. M'en fiche. Je lui ai dis de ne pas faire attention à moi, on partira quant il voudra. J'étais juste contente de pouvoir enfin rentrer chez moi. Je sais que j'irai aussitôt me coucher. M'enterrer dans mon lit, et dormir pour ne plus penser à rien. Pour oublier.

    Chaque fois qu'il s'approchait de moi, il me faisait de petits bisous sur l'épaule, ou la tempe, ou dans ma main. J'étais contente de voir qu'il ne me mettait pas la pression. Il est sorti avec ses potes pour des activités sportives. Moi, j'étais bien contente de rester tranquille. J'ai été lire dans l'attique, ou personne ne me trouverait.

    Avant que tout le monde commence à débarquer au chalet, je suis installée vers la cheminée pour lire.

    Quant ils sont rentré, ils se sont changé, trainé à discuter du week-end prochain et autres. J'écoutais d'une oreille. Puis, on a mangé au chalet avant de prendre la route. Avant de monter en voiture, Natacha a tiré Pascal de côté pour lui parler. Après 3mn, ils se sont fait la bise et on est parti. J'étais trop contente de rentrer.

    Sur le chemin de retour, Pascal m'a demandé de rester. Dormir chez lui. Il a promis qu'il ne tenterait rien, il avait compris qu'il me fallait de l'espace. Pour me racheter d'avoir saboté le Nouvel An, je suis restée. Je pouvais lui faire confiance, il me comprenait et je savais qu'il n'essayera pas de me sauter dessus.

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    Mar 3 Jan 2023 - Reprise des hostilités

    Carrément un poing au niveau du coeur. Ce doit être le stress moral et mental. J'ai toujours des difficultés à respirer dès que je fais quelques pas. Mais bon, je suis contente d'être chez moi. Enfin mon lit, mes bouquins, mes affaires. Je me suis couchée direct, comme je l'avais prévu. Je me sentais cassée.

    Bon... oui et non... Je suis contente d'être à la maison, mais je me retrouve avec Tchoy sur les bras. Son proprio a changé les serrures, parce qu'il n'a pas payé son loyer. Donc, ne sachant pas où aller, il m'a demandé sil pouvait venir ici. Je ne pouvais pas dire non. Donc, j'ai le frangin et Tchoy sur le dos.

    Donc, j'ai le frangin et Tchoy sur le dos. Moi qui rêvait d'être tranquille, et surtout, surtout, toute seule, c'est plutôt râpé!

    Thomas m'a demandé comment j'allais. Il m'a dit qu'on avait l'impression que je faisais la gueule ce week-end. Mais, comme il savait à peu près ce que j'avais, pas les autres. De loin, les relations entre Pascal et moi semblaient tendues. Il ne pouvait pas m'approcher sans que j'ai un mouvement de recul.

    Ah, je croyais pourtant avoir bien caché ça. Apparemment non. Zut. Il semblait que Pascal se pliait en 4 pour me faire plaisir et que la seule chose que je voulais, c'est qu'il me laisse tranquille. Ça, malheureusement c'est vrai. Je lui ai dis que je voulais que tout le monde, pas seulement Pascal, me laisse tranquille.

    La bagarre a repris avec ma frangine Didine... Je suis au bout de ma vie quoi... Tout ça m'énerve, elle est bouchée!

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    Mer 4 Jan 2023 - Trop malade

    Je me suis rendue compte que le médecin avait raison, bronchite chronique. Je bascule entre mieux et mal. Aujourd'hui, j'avais les cartes, mais, j'étais trop mal. Je me suis aussi rendue compte que j'avais fait des efforts pour paraître ok au chalet. Et de retour, je sombre.

    Il faut que j'aille voir mon Spy, l'angoisse me bouffe de l'intérieur, alors avec une bronchite, c'est la totale... Ça fait au moins 2ans que je ne l'ai pas vu, je n'ose presque pas appelé. L'état de santé de mon père m'inquiète; il ne mange pas, s'ennuie dans ce truc de merde, où ils sont sensé le retaper.

    Papa a perdu plus de 10kg, j'ai peur. Il me faut quelque chose de plus fort que des anxiolytiques...

    Je me sens vidée. Une vie amoureuse ne m'intéresse pas en ce moment. Et là aussi j'ai peur, parce que ça tombe vraiment au pire moment. Je vais devoir expliquer à Pascal que pour l'instant, j'ai besoin d'espace et que ça n'a rien à voir avec lui. Lui expliquer ce qui se passe dans ma famille avec ma sœur et tout.

    J'ai peur de le décevoir, et en même temps, qu'il s'éloigne de moi pendant ma période de ... blues.

    Je dois, parce que je ne supporterais rien en ce moment. L'idée même de "crac-crac" me dégoûte. Rigoler me dégoûte, manger aussi. Enfin, tout me dégoût. J'ai une énorme pierre posé sur ma poitrine, et je peine à sortir de ma bronchite, de mon mal de tête, de mon angoisse et tout le reste. Des câlins... arh, pas envie.

    Quant je suis comme ça, je suis contente de ne pas vivre en couple, ce serait un véritable enfer!

    J'ai envie de tout casser, de mordre, d'être méchante. Je voudrais m'enfermer dans un sommeil artificielle. J'aurai voulu être fille unique. Heu non, sans parents, sans famille. Je me sentirais libre. J'aimerai ne pas m'attacher au gens, être une personne qui ne ressent rien pour personne. Je voudrais être dans le coma.

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    Jeu 5 Jan 2023 - Réunion

    Ce soir, Pascal voulait qu'on mange ensemble. Je ne pouvais pas, j'avais une réunion avec les enfants à Marlène concernant la sortie d'hôpital de mon papa. Je n'étais pas en état pour assister à la réunion, et mon frère et ma sœur ont l'air d'oublier que je suis malade. Que ma bronchite me terrasse toujours...

    Mon frère voulait que j'aille à la réunion, pour le soutenir contre ma frangine. J'étais énervée de devoir lui rappeler que j'étais mal fichue. et je lui ai dis que, ce n'était pas parce que je ne le montre pas, ou n'en parle pas toutes les 5mn, que je vais bien. Qu'ils commencent à me gonfler à toujours croire que je vais bien.

    Ça l'a énervé, alors il m'a raccroché au nez...

    J'ai quand même été à la réunion, sachant pourquoi il voulait que je sois là. J'avais pensé rester dans la voiture, et qu'il me m'appelle sur whatsapp, pour que je puisse participer à la réunion sans propager ma crève à tout le monde, et quant je tiendrai plus, je raccrocherais. Mais non, il a pas voulu écouter.

    Je mettais arrangée pour que ma sœur m'appelle sur whatsapp, mais pas eu le temps de le lui dire! Il avait raccroché!

    Ils sont tellement cons, que ce soit ma frangine ou le frangin, pas un pour rattraper l'autre; ils se sont pris la tête, à s'engueuler comme des crétins devant les 2 idiots. Et moi, je devais crier pour faire sortir un son, et après 10mn, mon mal de tête était déjà au zénith avec ma fratrie! Et les autres jubilaient!

    Je déteste les stupides scènes devant des gens, au lieu de garder ça quant on est en privé.

    Bref, la discussion avec ces sales cons s'est très mal passé. Ils parlaient de "préserver" leurs mère. Hors, elle, Marlène, tout ce qu'elle veut, c'est que son homme rentre. Ben, c'est mal barré. Je suis partie de la réunion, et je suis passée vers elle, pour lui faire coucou, avant de rentrer.

    Je me suis effondrée en rentrant. Raide. Fatiguée, mal de tête, les sinus bouchés, la toux... Bref, foutue...

    Je n'ai même pas pris la peine de rappeler Pascal. Il m'avait envoyé des messages, et voulait que je l'appelle après ma réunion. Et aussi pour savoir comment j'allais. Je n'avais pas envie de parler, ça m'épuise. Et pas envie de parler du tout en fait. Je sais que je ne lui raconterai rien, parce que ce serait me remuer le couteau dans la plaie.

    Finalité, Christine et Jean-Michel ne veulent pas que Papa rentre. Ils veulent préparer leurs mère. Soit-disant...

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    Ven 6 Jan 2023 - Grindelwald

    Je ne suis pas d'humeur et pas en état pour aller où que ce soit pour le week-end. L'angoisse et une bronchite. Pascal a voulu me proposer de passer le week-end chez lui, comme ça, j'étais près de ma famille si jamais. Mais, je n'ai pas envie d'avoir à parler, ni à faire semblant d'être sociable. Je ne le suis pas.

    J'ai prétendu avoir une réunion de famille chez l'autre frangine en France. Donc, j'étais loin tout le week-end. L'idée m'est venu quant on se parlait au téléphone. Ça m'évitait de devoir chercher une autre excuse plus élaborer. J'ai prétendu  que c'était dommage, j'aurai aimé aller au chalet. Ils vont à Grindelwald.

    Au moins, avec cette excuse, je n'avais pas besoin de chercher comment être assez gentille, mais faire comme je voulais pour une fois. Pas question de me taper des fêtards tout le week-end. Ils avaient d'abord pensé aller dans le Grison, Saas-Fee. Mais Saas-Fee est un peu loin, juste pour un week-end.

    Ils hésitent entre Saas-Fee, Zermatt ou éventuellement Villars pour ces vacances. Je sais que Pascal veut que je sois là si on va à Villars. Villars était son choix, parce que c'est là qu'on s'est croisé la 2ème fois, et passé l'après-midi ensemble. Pour lui, c'était comme retourner aux sources.

    Bon, moi, je ne me rappelle pas. Je me souviens que d'un gosse qui nous a demandé s'il pouvait se joindre à nous. On avait bien rit, mais je ne me rappelle pas de sa tête. J'étais déjà assez occupée à apprendre à me tenir sur un surf board. C'était pas de la tarte. J'avais fauché un couple de vieux qui marchaient sur la piste.

    Au moins avec mon excuse balaise, Pascal a compris qu'il ne me verrait pas du week-end. Ça ne servait à rien qu'il reste dans le coin. Il n'avait plus qu'à aller rejoindre les autres. Bon, Grindelwald, j'aurai bien aimé. Une amie de jeunesse venait de là-bas. Ma 1ère partie de jambes en l'air à 3... Lotti Bohren.

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    Sam 7 Jan 2023 - Ils font exprès!

    Ha la la, pourquoi je ne suis pas sans famille moi? Comme toujours ma fratrie à la con m'emmerde le week-end. Je viens de passer 3h au téléphone avec une de mes sœur, Didine. Évidemment, elle voulait que je fasse ci, ou ça. Bref, bien sûr, le week-end, comme toujours.

    J'étais déjà à cran le samedi matin. Après, c'était le frangin. Grhhh, j'en ai marre.

    La fille de Marlène, a téléphoné à l'hôpital de mon père, pour repousser sa sortie. Mouais. Et ça a marché. C'est quand même dingue ça! Elle est personne, n'est pas médecin, n'a pas de lien de sang, mais ça a marché. Mon frère qui devait passer chercher Papa, n'a donc pas pu aller le chercher.

    Donc, ce week-end encore, il reste emprisonné au HIB. A l'hôpital. Formidable.

    L'avis des enfants de Papa alors? Rien à foutre? C'est dingue ce pays! Un soi-disant "secret médical" qui n'est pas respecté, un étranger téléphone et on prend son avis en compte, et on se fout pas mal des personnes vraiment concernés! Des attitudes criminelles, qui menacent la santé d'une personne...

    Et son médecin qui ne répond pas au téléphone... On dirait que le médecin de papa préfère nous éviter...

    Après m'être fait emmerdée toute la journée par mon frère et mes sœurs, j'étais à bout. Proche de l'implosion. Ça m'a épuisé d'avoir à pousser ma voix pour parler des heures au téléphone. Pris sur moi pour rester calme. Bon, sans voix, dur de faire autrement. Mais, rétamée après chaque coup de fils.

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    Pour me remonter le moral, j'ai appelé Pascal. Je voulais entendre le son de sa voix. Je ne m'attendais pas à ce qu'il réponde. Je pensais qu'il verrait mon appel, et me rappellerait peut-être, mais pas sûre. J'étais au fond du gouffre, et je lui ai dis que j'avais juste envie d'entendre sa voix. My God, il était si content!

    Il m'a dit que ça faisait longtemps que je ne lui avais pas dit quelque chose d'aussi gentil. Que ça faisait longtemps, longtemps, que je ne l'avais pas appelé, juste pour entendre sa voix.

    Il a failli tout gâché en me proposant de rentrer pour qu'on soit ensemble. J'ai refusé, en lui rappelant que j'étais en France. Pas vrai, je n'étais pas en France, mais je n'avais pas besoin de contact physique, juste l'entendre.

    Je sais pas si j'ai bien fait, je me sens toujours déprimée et anxieuse. Quelque chose me pèse sur le moral, mais je sais pas quoi. Je me sens... mal. J'ai besoin anxiolytiques... Urgent. Ou de m'arracher le cerveau.

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    Dim 8 Jan 2023 - Bien joué

    Encore ma famille qui essaie de m'appeler. Bref, ma frangine, Didine, est passée chez moi... Wohhh, je ne la reconnait pas? Elle était totalement contre que Papa rentre chez lui. Décidée à les séparer, de séparer Papa de sa compagne à tout prix. Et là, tout à coup, changement à 360°!

    Elle m'a expliqué être arrivée chez Papa, et JM parlait avec sa maman. Tout ce qu'elle voulait était que son homme rentre. Elle se sentait seule sans lui. Bref, il semble qu'elle ait été touchée par la détresse de Marlène. Puis, à l'hôpital, elle a vu sur la fiche de Papa, qu'il avait perdu plus de 10kg.

    10kg? Catastrophique! Elle a compris ce que j'ai essayé de lui dire depuis des semaines, Papa se laisse mourir!

    On était donc d'accord, finalement, demain, on retire notre Papa de cet hôpital incompétent. Il ne peut rester 1 jour de plus. Je n'étais pas d'accord que le fils de Marlène se pointe au RV qu'on avait avec les 2 médecins de Papa, mais Claudine était pour. Alors, j'ai fait un pas dans sa direction et accepté.

    Quant elle est partie, à 3h du matin, mon frère et Tchoy m'ont dit qu'on avait discuté pendant plus de 4h !

    Les 2 étaient restés cachés en haut pour ne pas croiser Didine. Mais, Tchoy était à côté de moi quant elle a appelé, en allant à l'hôpital. Elle avait Marlène avec elle, et Tchoy m'a demandé si c'était pas un "clone"? Même lui, connaissant bien ma frangine, comme moi, on ne l'a pas reconnu!e Après l'hôpital, elle s'est arrêtée chez moi. On va se soutenir demain envers et contre tous.

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    Lun 9 Jan 2023 - RV à Estavayer

    Caroline ne sait pas ce que j'ai dis ou fait, mais Pascal avait changé après mon coup de fils. Il semble qu'il faisait la fête comme d'hab, mais gardait ses distances. Mais Pascal semblait heureux. Elle l'avait questionné, mais il n'a pas voulu parler de notre coup de fils. Ça ne la concernait pas.

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    Ils ont dormi ensemble, mais il ne l'a pas touchée. Il a prétendu être fatigué. Lui fatigué! Il était agréable, souriant tout le week-end, mais nada côté sexe. Elle ne comprenait pas. J'ai compris qu'elle essayait de me tirer les vers du nez. Ça m'a quand même surprise de la part de Pascal.

    RV à l'hôpital à 16h... Trop tard pour qu'on puisse sortir Papa. Paperasseries administratives. Donc, c'est reporté à demain matin. Le médecin s'adressait plus à JM que nous les enfants. A voir, c'était à lui de décider si Papa pouvait ou non sortir! Dingue quand même et inadmissible!

    J'étais folle de rage, mais je me suis contenue. Didine a décidé que Papa ira chez elle en attendant de retourner chez lui. JM voulait qu'il reste encore jusqu'à vendredi! La blague. Nous, on est resté calme et avons fait le poing dans la poche. Inutile de s'énerver, on a tenu bon.

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