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    Ven 1er nov 2024 - De l'eau dans le gaz

    J'avais un anniversaire ce soir, donc je ne pouvais pas passer chez Paul avant 22h je pense. C'est ce que j'ai expliqué à Pascal.

    Vers les 21h30, je suis partie sur les chapeaux de roues. Ouf, je n'étais pas la 1ère. Je suis partie avec un couple qui avait des enfants à coucher. Hihi, j'en ai profité. J'ai filé direct chez Pascal. Je voulais laisser mes affaires chez Pascal, ensuite monter chez Paul. Par dehors. Je ne pensais pas y rester plus d'1h.

    A mon avis, ils vont se préparer à sortir dans ces eaux là. J'étais contente de n'avoir pas à stagner là haut.

    Avant d'arriver, j'ai jeté un coup d’œil pour être sûr que personne ne me verrait passer d'abord chez Pascal. Ikkkk, Pascal était appuyé contre un mur, et écoutait Natacha lui prendre la tête. Pourquoi s'énervait-elle? Oh, il paraît que Pascal était en bas avec MSG (Victoria), et avait verrouillé la porte communicante.

    Elle était sortie pour passer par la terrasse, c'était aussi verrouillé, les fenêtres occultés. Elle voulait savoir ce qu'ils faisaient. Caro, suivit de Nolan sont descendus. Caro est restée interdite à les écouter.

    Nolan lui, ne s'est pas gêné d'avancer jusqu'au bar de la cuisine et les écoutait ouvertement. Ils n'ont pas fait attention à lui. Pascal ne disait rien et se laissait remonter les bretelles. Si Natacha ne devinait pas ce qu'ils faisaient, je pourrais peut-être lui faire un dessin! Mince, je ne voulais pas arriver pendant leurs disputes.

    Hum, cela obligera de demander à Pace ce qui se passe... Ça m'ennuierait. Peut-être c'est ce que Natacha recherche?

    Avant de monter chez Paul, j'ai posé mes affaires dans le coin de l'entrée, vers la boîte aux lettres. En montant les escaliers, j'ai envoyé un message à Pascal pour lui dire que j'étais en haut. Que j'avais entendu du bruit chez lui, et je ne voulais pas les déranger. 10mn après, Pascal est monté me chercher.

    Natacha était fâchée. Ca se voyait à sa tête. Je ne sais pas si elle m'en voulait à moi. Mais, je ne vois pas pourquoi. Elle est revenue à l'assaut quand je suis sortie sur la terrasse à Paul, fumer avec Pascal. Alors elle a déballé son histoire. Je pense que c'était pour me mettre au courant. Aussi pour emmerder Pascal.

    Donc, Pascal et Victoria étaient en bas chez lui. Il avait verrouillé le passage entre les 2 appartements pendant plus de 30mn. Dès que la porte était ouverte, elle est descendue en trombe. Elle a croisé MSG qui lui a lancé un regard sans équivoque avec un petit sourire moqueur. Elle était furax. Contente que ça lui arrive.

    Après avoir entendu tout ça, j'ai chuchoté à l'oreille de Pascal que je descendais. Clair que je n'avais pas envie d'aller au Time-Out.

    Les autres commençaient à s'organiser pour sortir, et Pascal a voulu savoir si ça me tentait. Non, ça ne me tentait pas du tout. Mais, je lui ai dis que ça ne me gênait pas s'il en avait envie. Je voulais juste être sûre qu'il voulait que je l'accompagne ou pas. En fait, je préférais rester en bas et lire. J'avais un bouquin à lire pour le boulot.

    Pascal n'en avait pas tellement envie, parce que Natacha allait surement encore lui prendre la tête. Mais d'un côté, pour garder notre histoire encore secrète, ce serait bien que l'un de nous y aille. Il a donc décidé d'y aller un petit moment. Je me suis donc installée dans le salon avec mon livre. J'ai verrouillé le passage.

    1h après, Caro m'a demandé par message si elle pouvait venir avec Pascal. J'ai proposé demain. Ce soir, ça ne me disait rien.

    Puis, je ne sais pas pourquoi, j'ai commencé à me triturer la tête, parce que Pascal devait être rentré depuis des lustres. Il m'avait dit qu'il ne ferait pas long. Je crois que c'est la question de Caro qui m'a interpelé. Elle m'a envoyé le message, parce qu'ils étaient sur le point de rentrer... Alors que faisait-il? Ou était-il?

    Je me suis demandée s'il était chez Caro... C'était nul, alors que je l'attendais à la maison... J'ai été voir... Sa voiture était bien là!

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    Sam 2 nov 2024 - Monnaie de sa pièce

    Pendant que j'attendais Pascal, il faisait des galipettes avec Caro. Il m'avait pourtant dit qu'il ne ferait pas long en allant prendre un verre avec ses potes. Je me sentais triste et déçue. J'avais envie de lui en coller une. Je dis ça, mais je fonds dès que je le vois, alors lui coller mon poing dans la tronche!

    J'ai été jusque chez Caro, et j'ai failli débarquer pour lui demander si c'était ça, ne pas faire long?

    Une fois devant sa porte, je n'ai pas eu le courage de le faire. Lâche, j'ai fait demi-tour. Je suis retournée chez Pascal. Je voulais quand même qu'il comprenne que ça n'était pas comme ça que je voyais les choses. Que j'étais...

    Je voulais qu'il sache que je savais et que j'étais déçue. Pour finir, je lui ai laissé un petit mot sur sa table de nuit;

    "Je vois que tu es très occupé, et je ne voulais pas te déranger chez Caro.
    Quand tu m'as dis que tu ne ferais pas long, je ne pensais pas que c'était pour passer toute la soirée à t'attendre.
    Je retourne donc à ma place; hors champs".

    "Ah, PS; je serais difficile à joindre avant les 18h... si jamais".

    J'aurai pu partir, mais je voulais voir quand Monsieur daignerait rentrer. Et peut-être aussi, voir sa réaction en lisant mon mot.

    C'est dingue, mais il ne s'était même pas pressé pour rentrer. Je me gelait le derche dans la voiture, à attendre, pendant que lui s'envoyait en l'air avec Caroline à 2 pas. Sachant que j'étais à la maison, que je l'attendais, qu'il m'avait dit qu'il ne ferait pas long, il aurait dû éviter de s'arrêter chez Caro.

    C'était blessant, mais pour moi, ça voulait dire qu'il avait plus envie d'elle que moi. En rentrant, il avait dû voir la lumière à la fenêtre de la chambre et avait dû penser que j'étais au lit ou en train de dormir. Pascal faisait attention de ne pas trop faire de bruit. Il a bu un verre d'eau. J'étais plutôt satisfaire en voyant sa tête...

    J'avais laissé la lampe sur sa table de nuit allumée, pour qu'il remarque de suite mon mot. Il a aussitôt vu que le lit était vide. Je n'étais pas là. Peut-être regrettait-il du coup d'être même rentré? Il a lu le mot et l'a froissé. Il a osé essayé de m'appeler, mais je n'ai pas répondu. Qu'aurais-je pu dire?

    S'il avait insisté pour je revienne, à force, peut-être même que j'aurais été assez stupide pour faire demi-tour. Mais ça n'aurait pas été une bonne idée. Il aurait été hors de question qu'il me touche. Et encore moins supporté qu'il me serre dans ses bras. Je l'ai regardé réfléchir en faisant les 100 pas.

    Hum, je pense que ça a dû couper le plaisir des instants précédents dans les bras d'une autre femme. Il s'est assis au bord du lit en relisant mon message. J'ai coupé et je suis rentrée pour me coucher aussitôt. J'ai dormi comme un bébé avec l'aide d'un petit somnifère. 7h d'affilé. Waouh, c'est génial.

    Vers les 18h, Pascal m'a d'abord envoyé un message puis a appelé. Je n'ai pas répondu. Je voulais voir à quel point il voulait me contacter. Je sais que je finirais par répondre. Mais pourquoi pas m'amuser un peu. M'amuser méchamment. J'avais l'intention de lui faire le même coup qu'il m'a fait... poiroter toute la soirée.

    Je n'avais pas l'intention de le voir ce soir. Mais rien ne m'empêche de le lui faire croire... Give him a taste of his own medecine. J'allais m'amuser à le faire attendre toute la soirée. Chacun son tour. S'il a le culot de se casser pour aller je-ne-sais-où, je ferais croire que je suis passée chez lui et qu'il n'était pas là. Je lui enverrai un message "furibonde" dimanche.

    Dimanche, il pourra marquer une croix sur moi. Je ne répondrais probablement pas à ses appels ou messages. A lui de voir! Après tout, vendredi soir, il avait fait son choix... Qu'il l'assume tout le week-end. Mais, il n'avait pas intérêt à retourner chez Caro. Je le couïc! Et je l'ai fait attendre. Mais il a eu la mauvaise idée de sortir!

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    Dim 3 nov 2024 - Je me suis trompée

    Hier soir, de temps à autre, je regardais ce que faisait Pascal. Je crois qu'il a dû deviner que j'allais lui rendre la pareille. Il regardais son natel parfois. Et parfois ça le faisait sourire. Peut-être avait-il reçu un message, mais je n'avais rien entendu. Pascal a évité de m'appeler. Comme moi, il attendait tout simplement.

    Je suis sure qu'il avait dû deviner mes intentions. Zut. Je me sentais un peu ridicule du coup. Caro était chez lui la 2ème fois que j'ai regardé. Il lui avait demandé de ne pas se mettre sur ses genoux, mais la gardée là fermement quand il a vu quelqu'un descendre les escaliers. Natacha.

    Il y avait donc du monde chez Paul. Bien sûr, on était samedi soir...

    Drôle, pourquoi Pascal n'était pas chez Paul? Petit malin. Je pense qu'il a gardé Caro sur ses genoux pour énerver Natacha. Ou provoquer sa jalousie. Elle a fait la grimace. Pascal s'est ensuite levé, Caro toujours dans les bras, pour la poser sur le fauteuil d'à côté. Debout, il leur a demandé se s'en aller.

    Natacha lui a demandé s'il voulait dire qu'elle aussi devait s'en ailler. Pascal a fait oui de la tête. Il a dit qu'il était déjà passé chez Paul et qu'il n'avait pas l'intention de remonter. Il attendait quelqu'un. Natacha lui a demandé qui. Il n'a rien répondu, il se tenait en bas des escaliers. Il a attendu qu'elles montent pour fermer.

    Pascal s'est installé au piano après. On n'entendait rien, vu qu'il avait son casque. Zut, j'aurai bien voulu savoir ce qu'il écoutait. Au bout d'un moment, il a pris sa veste et il est sorti. Mon sang n'a fait qu'un tour. Maintenant, j'avais quelque chose à lui reprocher. Je fulminais. Il n'arrivait donc pas à m'attendre?

    2-3 min après, je lui ai envoyé un message pour dire que j'étais devant sa porte, et qu'il n'était pas là. Que je m'en allait donc. Mais, à ma surprise, il est aussitôt revenu à l'intérieur pour aller vers la porte d'entrée. Hum... J'aurai dû m'en rendre compte, parce ce qu'il faisait froid, donc normal qu'il prenne une veste. Zut. Je n'étais même pas chez lui.

    Pascal a ouvert, a regardé dehors. Ne me voyant pas, il m'a appelée. Impossible de lui répondre. J'avais menti en disant que j'étais chez lui. J'ai aussitôt sauté dans ma voiture pour aller chez lui. Je l'ai appelé une fois en route. Je sentais une petite panique dans sa voix. Je n'étais pas très bavarde... Je me sentais fautive.

    J'avais tout de suite sauté à la conclusion qu'il s'en allait en le voyant prendre une veste. A y réfléchir, j'aurai dû remarqué qu'il avait laissé la lumière, n'avait pas pris ses clés. J'aurai du savoir qu'il n'était pas parti. J'aurai dû le deviner. Apparemment, ma jalousie a voilé mon esprit. Je me sentais plutôt nulle.

    Je continuais ma route, parce que je devais comblé la distance. Je savais qu'il me demanderait de faire demi-tour. Que je l'accusais par erreur. Et erreur, il n'y avait pas photo. Mince. Comment est-ce que j'ai pu être aussi idiote. Heureusement, que je n'étais pas négligée et avait pris soin de m'habiller...

    Si non, je n'aurai pas pu sauter dans ma voiture. il m'aurait fallu 1h pour me préparer, me doucher et tout. Ma petite vengeance avait capoté. J'étais trop bête. Je ne sais pas pourquoi j'ai éclaté en sanglots. RIDICULE. Pascal a été aussi surpris, ne comprenait pas. Je lui ai dis que j'avais été déçue qu'il ne soit pas là.

    J'ai fait semblant d'hésiter à faire demi-tour. Puis, aussi semblant d'accepter de faire demi-tour à 5mn de chez lui.

    Pascal m'attendait à la porte et m'a prise dans ses bras. J'avais hélas les yeux rouges. Ridicule. Je pleurais sur son épaule. Je me sentais minuscule. Pascal devait savoir que c'était une manifestation de ma jalousie. Il avait une attitude protecteur et me disait qu'il n'avait fait que m'attendre. Il n'avait pas quitté la maison.

    Dimanche, on s'est levé tard. Pascal a appelé Caro et Paul pour venir prendre le petit déjeuner avec nous. Les garçons se sont ensuite mis à jouer aux jeux vidéos tout en discutant, pendant que Caro et moi papotions dans notre coin. Quand Caro m'a demandé si j'avais remarqué que Pascal semblait tendu, j'ai su que j'avais bien deviné qu'il y avait un truc.

    Pascal m'avait vite fait oublier ma honte d'hier soir. On a passé une après-midi agréable. Il a tout fait pour se racheter pour vendredi.

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    Lun 4 nov 2024 - Sanglots

    Hier, Pascal m'avait demandé franchement si j'avais fait exprès de le faire poiroter toute la journée. J'ai hésité et il a compris que oui. Je n'ai pas pu retenir mes larmes. Horrible. La minute d'avant, je riais, plaisantais, et me voilà en larmes. Ces larmes répugnantes qui me défigure. Je ne me trouve pas jolie quand je pleure comme une idiote.

    Certaines femmes sont belles, leurs larmes déchirantes touchent le cœur de celui qui la regarde. Pas les miens.

    • Ça me tue de te voir pleurer...


    Quelques mots dans un souffle. Pascal hésite à approcher de peur que je le repousse. D'un geste tendre, il me caresse ma joue avant de me prendre dans ses bras. J'ai voulu m'excuser, mais les mots ne sortaient pas. Je ne savais pas que son manque d'intérêt ces temps me causait autant de chagrin.

    Ses bras protecteurs, rassuraient ont finis par faire cesser mes larmes. Du pouce, il a essuyé la dernière larme perdue avant de me serrer contre lui. Qu'est-ce que je pouvais bien dire? Rien. Je ne veux pas l'empêcher de vivre. Parce que ce serait égoïste. Pascal s'est lancé dans des explications que j'aurai préféré ne pas entendre.

    Oui, je le savais, il était chez Caro. Elle avait voulu lui parler. Et lui aussi. Parler? Mon cul. Il ne m'a pas dit le sujet de ce "vouloir se parler". Et je n'ai rien demander. J'étais soulagée de ne plus pleurer comme une madeleine. C'était d'un ridicule. Je suis une femme forte, plus âgée que lui, alors je n'aurai pas voulu qu'il me voit m'effondrer comme ça.

    On en a plus reparlé. Ce matin, on a pris le café ensemble comme si rien ne s'était passé. J'avais quand même un peu honte.

    J'avais l'impression d'avoir la poitrine enfoncée. Que le poing était toujours appuyé sur mes poumons, J'avais encore mal au cœur. Mais cela passera. Tout passe. J'aurai tout de même dû lui dire, qu'on ne se voit pas beaucoup la semaine. Que ce n'était pas mieux le week-end, alors je m'inquiète, parce que je n'ai pas l'impression qu'il tient à me voir.

    Ce soir, je ne sais pas ce qu'il fait. J'avais drôlement envie de le voir, mais je n'ai pas osé appeler pour le lui dire... Je ne sais même pas s'il est à la maison, seul ou pas. Je me suis forcée à ne pas l'épier.

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    Lun 4 nov 2024 - Confession?

    Peut-être que Pascal avait deviner pourquoi j'avais éclaté en sanglots, parce qu'aujourd'hui, il a voulu que je passe dormir chez lui. Ça me changeait. Ça m'a vraiment faire plaisir. Bon, ma 1ère impulsion était de dire que je ne pouvais pas, parce que j'avais déjà un truc. Souper avec une copine.

    Mais si je passe mon temps à refuser chacune de ses propositions, il arrêterait de me demander. Ce sera retour case départ.

    On est donc sorti manger un truc ensemble. C'était agréable de se retrouver en tête à tête. A vrai dire, j'avais imaginer ma semaine seule dans mon coin, alors que monsieur s'amusait avec d'autres femmes. J'étais préparée, mais ça n'empêchait pas la douleur de s’immiscer dans ma tête.

    De retour chez lui, j'ai dû patienter dans un coin, invisible de son écran, pendant qu'il parlait avec Jess et les enfants. Je n'arrivais toujours pas à le voir en "papa". Pour moi, il reste mon Pascal d'il y a 10ans. Sans enfants. J'entendais la voix des petits et une perceuse se faufilait dans ma poitrine.

    Le petit Patrick lui a dit qu'il avait une surprise pour lui. Mais, il n'a pas voulu lui dire quoi. Son visage souriant quand il leurs parle est une torture. Son fils lui a montré des dessins qu'il avait fait. Je crois qu'il va à la maternelle maintenant. Quel âge a-t-il? Et la petite? aucune idée. Me rappelle pas.

    A plusieurs reprises, Pascal m'a dit qu'il avait un truc à me dire. Mais, malgré mon insistance, au final, il n'a rien dit. Il ne voulait pas gâcher la soirée. Franchement, avec son air préoccupé, il ferait mieux de tout déballer et on en parle plus. Bon, je ne sais pas de quoi il s'agit, mais ça le travaille.

    Au moins, ce n'était pas pour me jeter et se mettre avec Natacha. Quand même, je sais que ça a un rapport avec Natacha. Je l'ai cuisiné, il n'a rien voulu dire de plus. Il aimerait qu'on se voit plus. 1x par semaine, ça ne lui plaît pas. Il s'inquiétait de savoir si je n'avais pas plus envie de le voir.

    Vu ses inquiétudes, et son air tendu par moment, j'ai été un peu collante ce soir. J'avais besoin de le sentir, le toucher... Je n'ai pas à me plaindre, quand on est ensemble, il me donne toujours l'impression que je suis celle qui compte.

    Heum, j'ai la même impression quand il est avec Caro ou Natacha... On dirait aussi qu'il n'y a qu'elles qui comptent... Great pretender!

    Je n'arrive pas à croire que j'aie pensé réussir à le quitter. Impossible. Tant qu'il voudra bien de moi, je ne pourrais pas le quitter. Il me rend dingue. Rien que le regarder j'ai des palpitations. Je ne le mérite pas, il est trop bien pour moi. En plus, avoir de l'argent rajoute encore à son charme, même si je n'en profite pas. Et son rire, son sourire... Afff!

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