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Par JaneDo le 20 Octobre 2024 à 16:00
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Dim 13 Oct 2024 - Farniente à 3
Aujourd'hui, j'ai passé un dimanche comme je les aime. On a presque pas bouger du lit la plus grande partie de la journée. C'est Caro qui nous a réveillé pour le petit déjeuner. Elle est venue se jeter dans le lit vers les midi. On avait pas envi de se lever, ni de sortir du lit, ni faim non plus.
Il n'y a rien eu de spécial, quelques petits bisous sur le front, les lèvres, sans plus. Pascal ne semblait pas enclin à faire des galipettes. moi non plus. Juste des câlins. Je me suis rendormie, la tête sur son épaule, son bras autour de moi. Caro s'est mise à babiller comme d'habitude.
Pascal, les yeux fermés, lui répondait par des monosyllabes; "heu, hun". mais ça n'empêchait pas Caro de continuer. Elle est toujours de bonne humeur le matin. Plutôt zombilique moi. Au bout d'un moment, Pascal lui a dit de se taire et de dormir. Elle a rigolé, et s'est tut un petit moment.
Ça m'a réveillé un peu quand elle est sortie du lit. Mais j'ai dû tomber dans les vapes direct. Je me suis encore éveillée quand Pascal est sorti du lit à son tour. j'en ai profité pour m'étaler. Pascal est sorti courir, et je me suis sentie obligée de me bouger et me lever à mon tour quand il est sorti de la douche.
Purée, j'aurai bien continué à somnoler si Caro n'était pas là. Mais je me suis dite que, suivant comment, après le déjeuner, je pouvais retourner me coucher, parce que Caro lui tiendrait compagnie. Je me suis dépêchée de prendre une douche avant d'aller au salon. Caro avait fait des pancakes.
En fait, elle avait préparé le petit déjeuner, et attendait qu'on soit là pour préparer les œufs aux bacons. J'ai voulu préparer mes œufs brouillés, mais elle a tenu à le faire. J'ai pas insisté. On a déjeuner assis parterre autour de la table du salon. Je les au écouter papoter, la tête dans le brouillard.
Après le déjeuner, on a pris notre café sur la terrasse, parce qu'on fumait. Je suis plutôt muette le matin. il me faut un sacré moment pour que mon mon cerveau se connecte. Après ma clope, j'ai été me recoucher. J'avais trop envie de me larver pour lire, ou même regarder la télé. Puis, y a une télé dans la chambre.
Caro avait dû rentrer, parce que Pascal est revenu se coucher. Je crois l'avoir entendu me dire que Caro s'ennuyait toute seule chez elle, c'est pourquoi elle était venue manger avec nous. C'était copieux, parce qu'elle avait aussi faire des vinerli, des petites saucisses. On était calé pour la journée.
On a larvé au lit. Pascal a regardé un moment la télé, moi, je naviguais entre dodo et somnolence. Comme un vampire, je me suis forcée à me lever en fin de journée, quand ce qu'il y avait de jour commençait à fuir. Pascal et Caro étaient planté dans le canapé et se chamaillaient gaiement. Ils flirtaient.
Je sais que pendant que je dormais, ils avaient fait des galipettes... Bizarrement, je n'ai ressenti aucune jalousie. Je me suis simplement laissé tombé dans le fauteuil face à la télé qui tournait sur un reportage sur le pôle nord et les ours je crois. Mon cerveau ne tournait pas encore totalement.
Ils ont continué à batifoler. J'ai bu mon café, et je me suis presque allongée dans le fauteuil, les pieds sur la table. Comme j'aurai fait chez moi. Ils ont fini par s'endormir dans les bras l'un de l'autre, et moi, je me suis prise à regarder le reportage sur la vie d'une meute de loups. J'adore les reportages, j'en regarde tout le temps.
Même quand ils se sont retiré dans la chambre, je suis restée devant la télé. Je voulais savoir ce qui allait arrivé à la famille de la Louve. Je me rends compte qu'il y a tellement d'idées fausses transmises sur le fonctionnement au sein des groupes d'animaux. C'est comme la plupart des infos sont fausses!!!
Après le reportage, j'ai été me recoucher. Pascal et Caro dormaient serrés l'un contre l'autre. Je me suis serrée contre Pascal et je me suis endormie presque aussitôt. A mon réveil, Caro était partie. On s'est traîné du lit pour manger. Mon ventre commençait à crier famine. Mais, je n'avais pas envie de cuisiner.
Ça tombait bien, Caro est revenu avec de la bouffe et on a mangé à nouveau assis parterre autour de la table du salon. On a passé la soirée comme ça, les 3, à bavarder, plus ou moins sérieusement tout en regardant la télé parfois. C'était un dimanche cool, comme j'aime, sans prise de tête, en training, sans visites impromptus.
Quand elle était présente, ou quand on était les 3, Pascal s'était plutôt occupé de Caro aujourd'hui. Ce qui m'étonne, c'est que ça ne m'avait pas dérangé. Ça m'a paru naturel. Pas de picotements de jalousie.
Je préfère qu'ils agissent normalement. J'ai tout naturellement pris le second rôle. Je sais bien qu'ils ont fait l'amour, et puis...
Ils n'avaient pas été très discret par moment. Ça voulait dire que si je voulais, je pouvais les rejoindre, mais je n'en avais pas envie. Je les ai laissé leur espace. Ça ne m'a pas fait souffrir. C'est moi qui dormira dans ses bras tout à l'heure. Je ne vois pas pourquoi ils ne devraient pas se sentir à l'aise devant moi. Je ne veux surtout pas qu'ils se croient obligés de se cacher.
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Par JaneDo le 21 Octobre 2024 à 16:00
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Lun 14 Oct 2024 - Tchoy, le fainéant
Pas envie de faire grand chose aujourd'hui. Ou disons, j'avais envie de prolonger mon week-end de farniente. Même que ça me fait hyper chier de voir que, non seulement mon frère, mais Tchoy étaient plantés ici. Ils n'ont pas été bossés. Pfff, ça commence à me courir, mais bon, je dis rien, parce que c'est lundi. Ça flingue ma tranquillité.
Ha oui, de plus, le fils à Tchoy, Théo, passe la semaine ici aussi. Tchoy est descendu en clopinant, c'est l'excuse pour ne pas aller bosser. Quand c'est pas le genoux, c'est les dents, mal de tête, toujours les mêmes faux semblants. Un vrai tire au flanc. Normal, son patron l'a payé, alors monsieur ne travaille plus. Le squatteur de service.
Avant, quand Théo était petit, il restait à la maison, soit-disant pour s'occuper de son fils. Il ne voulait laisser le gamin tout seul. Là, le gamin à 16ans, il n'a plus besoin d'avoir son père sur le dos. D'ailleurs, Tchoy est frustré de ne plus dormir dans la chambre de son fils, parce qu'ici, il a sa propre chambre. Et le gamin n'a pas envi d'avoir la grosse larve dans les pattes.
Chaque fois qu'il va dans la chambre, le gamin lui demande de se casser, parce qu'il joue en ligne avec ses potes... Ça me fait rire. Désœuvré, sans but, il vient errer en bas, et pique mes clopes. J'ai vu qu'il m'avait piqué des clopes, en avait même fumer au salon. Mais, pour une fois, le cendrier est vidé. D'habitude, il les laisse pleins.
Assez parlé de ce flemmard. Aujourd'hui, ils sont les 2 là; le frangin et Tchoy. Le gamin joue dans sa chambre et on le voit jamais.
Caro m'a demandé si je voulais manger chez elle ce soir. Sans compter le fait que je n'avais pas envie de bouger mes fesses de la journée, ce soir, j'ai un anniversaire. Donc, repos la journée, en forme pour faire un peu la fête ce soir. C'est rien de grandiose, juste souper entre amis pour l'anniversaire de ma copine. J'en ai un autre le 16!
J'ai expliqué le topo à Caro, et je lui ai dis qu'elle pouvait venir si elle voulait. Elle ne connait personne, alors ça ne lui disait rien.
Pascal a aussi appelé. Surprenant. Il a proposé que je passe dormir chez lui. Au fil de la discussion, il aurait aimer que je passe la semaine chez lui. Question de fêter nos retrouvailles. Bon, pas envie. Un week-end à me forcer à la convivialité, c'était assez, après il me faut la semaine pour me remettre. Puis, nos retrouvailles? C'est sensé être un secret.
Bref, je suis retourné à mon farniente perso, me préparant mentalement pour l'anniversaire ce soir. J'ai dormi plus de 8h, Incroyable!
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Par JaneDo le 22 Octobre 2024 à 16:00
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Mar 15 Oct 2024 - Rassurer Caro
Que Caro ait été là dimanche, ça n'a pas dérangé mon farniente. Pour moi, ce n'était pas comme si elle était une visite. Du tout. C'était pareil que si Pascal et moi avions été seuls. D'ailleurs, elle veut tellement bien faire, qu'elle a même fait à manger.
C'est peut-être même mieux, parce que je crois que, je pouvais vraiment me reposer. Faire mes siestes, lire. Et Pascal ne se retrouve pas désœuvré ou seul quand j'ai envie de faire ce que je veux, comme dormir. Je crois que j'aime bien qu'elle soit là. Je devrais le lui dire. J'aime bien Caro, c'est comme si elle comblait mes défauts.
Je ne veux pas qu'elle puisse penser que j'ai peut-être rien dit sur le moment, et que j'avais contenu ma colère. Comme j'avais un truc hier et que je n'avais pas pu aller manger chez elle... Je me demande si elle m'avait invitée dans l'idée de voir si elle n'avait pas dépassé les bornes dimanche. Je dois la rassurer.
Alors ce soir, je l'ai appelée pour lui demander si son invitation tenait toujours... Elle était ravie. J'ai ainsi pu mettre les choses au clair. La rassurer, lui dire que c'était très chouette qu'elle ait été là dimanche. Que ça m'a rappelé des vacances ensemble. Qu'elle n'était pas une visite. Elle avait dû deviner qu'on était à nouveau ensemble.
Caro avait aussi entendu Pascal dire qu'il ne voulait voir personne, pour passer une journée tranquille. Quand Pascal lui a proposé de passer, elle a pensé que ça risquait d'envenimer notre relation à toutes les 2. Mais dimanche, elle avait cru sentir qu'elle était la bienvenue. Qu'elle n'avait pas à faire de chichi. Caroline voulait être rassurée.
On a beaucoup bavardé avant que Pascal ne débarque par surprise. Hum! Il a été plutôt surpris de me voir. Il ne s'y attendait pas.
Il s'est étalé sur le canapé. A son attitude, je vois qu'il a l'habitude de venir ici. Il se sent à l'aise, comme chez lui. On en est venu à demander à Caro de garder le secret sur notre relation. Je ne voulais pas qu'on sache qu'on était ensemble. Je sais qu'elle sait déjà. Pascal m'a raccompagnée à ma voiture pour me faire des bisous.
Mince, j'ai toujours et encore les jambes flageolantes quand il m'embrasse. Mon cœur s'emballe, et je dois m'accrocher à lui pour ne pas verser. Pas normal. Pour calmer les battements affolés de mon cœur, je me suis dis que si Pascal avait débarquer comme ça, c'est qu'il allait dormir chez Caro. Mais niet, ça tapait dans mes oreilles.
J'allais entrer dans ma voiture, quand Pascal m'a retenue par le bras. Il a demandé si je rentrais, si j'étais pressée. Heu, non, pas du tout. Alors, il m'a fait signe d'attendre. Il est retourné chez Caro reprendre ses clés qui traînaient sur la table. Il est revenu vers moi avec un petit sourire que je connaissais par cœur. Mon cœur et mon corps aussi.
Il m'a prise par la main, et traînée chez lui. Je savais ce qu'il voulait. Je n'allais pas me mettre à chipoter, lui dire que j'avais encore mal de dimanche, que je n'étais pas prête, etc, si non, il retournerait vers Caro. Chez lui, le temps d'enlever une des jambes de mon pantalon, il a défait sa ceinture, sans même prendre la peine d'allumer...
A froid ou pas, mon corps s'est enflammé de désirs. Je n'étais qu'une poupée en chaleur entre ses mains. Une femme en manque.
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Par JaneDo le 23 Octobre 2024 à 16:00
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Mer 16 Oct 2024 - Problèmes domestiques
Cela fait 5 jours que j'ai fait tourner le lave-vaisselle... et pas un de ces 2, Tchoy ou mon frère, n'a penser à vider a machine. Ca m'énerve grave. On sait ce qu'on a acheté et placer dans le frigo... mais les affaires des autres disparaissent non stop! Et ce n'est jamais personne. Arhhh, un mec a besoin de faire l'uni pour avoir 1 grain de sens pratique!!!
Hier, Tchoy m'a piqué le jambon que j'ai acheté. Et subitement, il reste caché dans sa chambre. Ce qui m'énerve le plus de chez énervé, c'est quand tu leur dis quelque chose, y tout le temps des; oui, mais... ou c'est pas moi... Tchoy est le spécialiste. Mon frère s'énerve parce que comme tous les mecs, il déteste qu'on lui fasse des remarques...
Donc, il n'écoute pas, et le lendemain, c'est reparti pour la même chose! Quand à Tchoy, c'est jamais lui... même si on le prend la main dans le sac. Drôle, mais il a été bossé aujourd'hui. Il a besoin d'argent. Il a évidemment demandé de l'argent à son patron. Mais, son patron n'est pas idiot. Il lui avait donné une partie de son salaire, et la larve est née!
Pendant une semaine, il n'a pas été bossé. Après une semaine à dormir 24 sur 24, il a les poches vides, me pique mes clopes, traîne un regard vague dans le frigo, parce qu'il n'a pas fait de course, et attend que je ne sois pas là, pour voler quelque chose et courir s'enfermer dans sa chambre avec son butin. Et il croit que je ne remarque rien?
Il a même le toupet de me mentir en face, et se répète, croyant qu'à force je vais le croire. Il s'est énervé quand je l'ai pris en plein mensonge, et s'est mis à élever la voix. Il est sorti s'acheter des clopes. Au retour, je l'ai arrêté et lui ai dit qu'il avait intérêt à ne pas me provoquer. Ça m'énerve tellement que je commence leurs phrases pour eux; "oui, mais...". Alors ça l'énerve.
Comme il avait laissé la lumière à la cuisine et a pris les escaliers, je l'ai rappelé pour qu'il vienne éteindre la lumière. Je lui ai dis que c'était pire que des gosses, qu'on doit sans arrêt rappeler à l'ordre. Alors son "oui mais", c'était pour dire, qu'il montait simplement à l'étage rechercher son natel, qu'il allait redescendre... Qu'il n'aurait pas oublié d'éteindre!!!!
Ouais, ouais... il oublie, comme le frangin. Alors, il a dit qu'il s'est énervé, parce que j'aurai dû savoir qu'il allait revenir éteindre!
La bonne blague. Alors, je lui ai rappelé, qu'il vient s'étaler sur le canapé et pas une fois, il ne pense à remettre les coussins en places en partant, ni de vider son cendrier. Oui, parce que j'ai dû me résoudre à ce qu'on ait chacun son cendrier, pour ne plus entendre; "mais, c'est pas moi qui ait laisser ça... $je vide toujours le cendrier". Crhhhh, franchement! Mon cul!
Bref, la voiture à Tchoy était devant mon garage, alors j'ai dû hurler dans les escaliers pour que monsieur bouge ses fesses pour déplacer sa caisse, pour que je puisse aller à mon rendez-vous de cartes. J'ai eu 1/4h de retard du coup, il a fait semblant qu'il ne m'entendait pas! On a encore fait ex aequo aujourd'hui. Je jouais avec Bernard. MDR.
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Par JaneDo le 24 Octobre 2024 à 16:30
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Jeu 17 Oct 2024 - Ça m'énerve..
Ha lal la... Ils m'ont flingué le tapis de l'entrée. La phrase débile de justification; il n'y a que ceux qui font rien qui font pas de conneries"! Putain, ils n'arrivent jamais à faire quoi que ce soit sans bousiller quelque chose au passage. Ça m'éééééénerve! Et Surtout, il ne faudrait rien dire, puisque monsieur se casse le cul pour installer le lave-linge!
Sérieusement! Mercredi, le jour de la déchetterie, donc pour virer l'ancienne machine, les 2 cocos ne sont rentré bien après Ouais, genre, on veut pas bouger son petit doigt. J'avais dans l'idée de demander l'installation par FUST, mais ils tenaient à le faire, pour qu'on ait pas à payer des frais d'installation. Frais qu'il n'y a que moi qui paie! J'aurai dû le faire.
Et le voilà qui revient... me tenir la jambe... et oui, il est assis là à me raconter ses conneries à propos du boulot...
La réunion au boulot s'est bien passé. C'était surtout une réunion pour nous parler des projets en cours, à venir, et faire le point. Ce n'était pas pour voir notre travail. C'était cool. Après, on a pris tous un verre ensemble au boulot. Jean-Luc m'a demandé s'il pouvait m'inviter à manger ce soir. Je lui ai dis que j'avais une période avec des obligations familiales.
J'avais envie de voir Pascal. Juste question d'avoir un gros hug et des bisous. Mais il était déjà pris. Je voyais bien qu'il se changeait pour sortir. Il avait rendez-vous avec ses potes. J'aurai voulu avoir le courage d'insister, mais j'étais trop déçu. Peut-être qu'il l'a senti, je sais pas, mais il a dit qu'il pouvait m'attendre. Que ça ne faisait rien s'il avait du retard.
Ça m'a fait plaisir, et j'allais partir quand il a proposé qu'on se retrouve à mi-chemin peut-être. Ouais, pourquoi pas. Ha! Est-ce qu'il voulait éviter que je vienne chez lui et lui flingue sa soirée, en lui demandant de rester? Arh, je devrais peut-être arrêter d'imaginer n'importe quoi. C'était déjà pas mal qu'il se débrouille pour qu'on se voit un moment...
- Tu te rappelles le le restaurant où on a mangé à Nyon? Près du pub?
- Oui, je me rappelle. Tu veux qu'on se retrouve au restaurant?
- De l'autre côté de la route, il y a le parking, puis quelques mètres plus bas, on est au bord du lac. On pourrait se retrouver là, au bord du lac, droit en face du restaurant. Ça te dit?
- Oui, ça me dit bien. Trop cool.
- Comme ça, on se retrouve à mi-chemin. Je serais là-bas dans 10 à 15mn, si je ne traîne pas à partir... A toute alors...
Mince, j'avais les mains moites, j'étais nerveuse, comme pour un 1er rendez-vous. J'étais impatiente de le voir ne serait-ce que 5mn. On se voyait souvent comme ça, en vitesse, le temps de se faire un câlin. J'essayais de faire en sorte de renouveler la flamme de nos débuts. Cette flamme qui nous faisait vibrer, qui nous gardait en alerte, amoureux.Depuis la place de parque, je le voyais debout, les mains dans les poches. Mon cœur palpitait, j'avais des frissons. Je ne sais pas s'il regardais le lac ou dans ma direction. Une chose est sure, j'étais toujours aussi amoureuse de lui. J'avais failli le perdre, et ça me fait encore flipper. Mais les choses avaient changés, je le sentais bien...
Je suis arrivée derrière lui, et j'ai passé les bras autour de lui en posant ma tête contre son dos. Arhhh, c'est tellement bon. Il sentait tellement bon. Il a posé sa main sur la main, et on est resté comme ça une petite minute. Pascal s'est retourné et a pris mon visage entre ses mains. Il souriait. Le rythme de mon cœur s'est accéléré. Je suis folle de lui.
Ce sourire, cette bouche si douce. Arh, ses baisers sont à mourir. Je me serrais contre lui sans dire un mot. il m'a demandé si j'allais bien et j'ai fait oui de la tête en me serrant encore plus fort contre lui. Qu'est-ce qu'il pouvait bien me trouver? Il est tellement beau et riche avec ça, qu'est-ce qu'il faisait avec une petite grosse comme moi?
De retour au parking, Pascal a attendu de me voir filer avant d'aller rejoindre ses potes. En fait, il avait rendez-vous au restaurant dont il avait parlé. J'espère que c'était seulement avec des potes. Bon, de toute façon, je n'avais rien à dire. Il n'avait pas à me demander mon autorisation. Je les enviais de passer la soirée en sa compagnie.
Pascal est rentré avant minuit. J'étais contente qu'il soit seul, mais pas pour longtemps... MSG s'est rappliqué peu après. A croire qu'ils s'étaient donné rendez-vous chez lui. Il aurait pu me demander à moi, non? Je l'aurai bien attendu, j'aurai voulu être à sa place. ils ont baiser des heures avant qu'elle se casse pour le laisser dormir. J'étais mortifiée.
Je n'aurai pas pensé qu'il s'engagerait dans une partie de jambes en l'air après m'avoir si amoureusement serrée dans ses bras!
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