• Vendredi, 7 mars 2014 - 66/14 - Elodie le retour??? Et moi alors?

    Je ne sais pas si Thomas, Pascal, etc, sont à Gstaad ou pas. J’ai réussi à me retenir de courir pleurnicher derrière la porte à Pascal hier soir. Ouf. Mon natel, j’ai préféré le mettre sur silence et à garder mes distances avec tout le monde. Ce soir, je me le consacre à moi toute seule. Au programme: télé, lecture, peinture et dodo.

    J’ai quand même appris que Caroline était à Gstaad avec Pascal et les autres. Maud n’y était pas. J’avais pensé que c’était une chance. Caroline était désespérée. Julien lui a conseillé de tourner la page. Pascal lui parlait, était sympa avec elle, mais, il a passé presque toute la soirée collé à Elodie.

    Le reste, je n’ai pas voulu lui laisser le temps de me le dire. J’ai raccroché. Malgré ça, j’avais des palpitations. Mon imaginations à pris le dessus et m’a transporté dans le fond du gouffre. Pourtant, j’aurai donné cher pour ne pas me laisser descendre par des choses que je ne pouvais pas contrôler.

    En me plongeant dans mes séries, et The Walking Dead, j’ai réussi à me distraire un peu. Par contre, difficile de dormir sans que mon esprit vogue du côté de Gstaad. Je ne veux pas monter là-bas, je ne veux pas m’infliger la torture de le voir passer à autre chose. J’espère rester forte et ne pas courir là-bas.

    Demain, je dois de toute façon aller chercher Dobby jusqu’à dimanche. Devoir m’occuper de la chienne m’empêchera de faire des bêtises. J’espère.

    Pourtant…. Tard dans la soirée, torturée, angoissée, j’ai tenté d’appeler Pascal. Il n’a pas répondu, ce qui m’a encore plus angoissée. Je me serais frappée d’avoir été aussi faible. Heureusement, je n’ai pas laissé de message sur sa boîte vocale. C’est toujours ça. Snif, je suis là à espérer que Pascal me rappelle…



    votre commentaire

  • Jeudi, 6 mars 2014 - 65/14 - Ces moments disparus à jamais...

    Je pense à ces moments passé avec toi, Pascal… A tes baisers chauds, tes bras solides et tendres à la fois. A nos corps à corps brûlants. Passionnés. Tes yeux d’un verts profonds. Ces moments disparus à jamais… Et ça me fait mal.

    On est jeudi soir, que fais-tu ce soir Pascal? Avec qui partages-tu tes rires, tes sourires? Avec qui partages-tu ta chaleur? Qui a la chance de te contempler, d’entendre les sons qui sortent de ta bouche, les modulations dans ta voix, cette voix chaude, douce, d’écouter tes paroles? Des paroles que je boirais bien encore et encore?

    Merde, je n’arrive pas à décrocher de cet homme. Il vient me hanter quant je m’y attends le moins. Il me poursuit partout, jour et nuit. Je me lève en pensant à lui, je bois mon café en regrettant de ne pouvoir le partager avec lui, je mange avec lui, et je m’endors sans lui. Et pourtant, je fais des efforts. Mais il me manque à en crever.

    Ce soir, j’ai envie d’aller chez lui. J’essaie de me convaincre de ne pas le faire, que ce serait stupide. Même la chose la plus stupide à faire. Pourtant, j’ai déjà pris une douche, je me suis changée, maquillée et tout. Pourquoi tout ça si ce n’était pas pour aller traîner du côté de chez lui comme une ombre, une âme en peine. Un fantôme désespéré. Perdu.

    J’aimerai qu’il m’accueille avec le sourire, me prenne dans ses bras. Mais, j’ai aussi peur qu’il me demande ce que je fiche là. Qu’il soit déjà avec quelqu’un d’autre. Ou pas là. Mon imagination alors prendra des envols désastreux. Je risque de passer le reste de la nuit à le chercher. J’ai peur. Peur d’être abattue par la réalité.

    Si j’écoutais ma tendre lâcheté, je resterais bien sagement chez moi. Et basta. Qui ne sait rien, ne peut pas en souffrir.



    votre commentaire

  • Lundi, 3 Mars 2014 - 62/14 - Théo, le cops à Kaya

    Souper en famille comme d’hab. Mais ce soir, Théo, le petit ami de Kaya, ma nièce, est venu manger à la maison. Rose nous a fait un dîner parfait, avec en entrée, une soupe aux asperges. C’était bon. On a tous trop mangé. Après, Kaya m'a accompagnée pour ramener tout ce petit monde; Alice et Théo. J’ai ensuite pris un dernier café avec ma frangine et ma nièce avant de rentrer.

    Et oui, le fils à Tchoy s’appelle Théo, comme le petit ami de ma nièce! Je ne m’en sors plus avec tous ces prénoms idems!

    Pendant le souper, Tchoy a essayé de me joindre. J’ai mis mon natel sur silence. Il voulait me proposer de manger du boeuf aux carottes qu’il avait préparé. Il avait oublié que j’avais mon rendez-vous du lundi soir en famille. J’ai goûté pour lui faire plaisir, même si l’idée d’avaler quoi que ce soit me donnait plutôt envie de me casser une jambe. C’était très bon.

    Demain, je ne bouge pas une oreille de la maison, question de me reposer d'avance, du stress du lendemain.

    Mercredi, sans compter le boulot, j’ai une journée chargée; conduire Kaya à l’équitation, promener la chienne à David, emmener Lilice prendre sa deuxième leçon de conduite avec moi. Bref, rien que d’y penser, j’ai déjà mal à la tête. En tous cas, ce week-end, je serais aux abonnés absents.

    Hier soir, comme Pascal était rentré direct chez lui après avoir mangé avec elle, elle n’a pas pu s’empêcher de s’imposer chez lui, sachant que sa femme n’était pas là. A la demande de Pascal, elle a tenté de me faire sortir pour aller les rejoindre. Pas voulu. Je lui ai quand même parlé pour finir.

    Pascal m’a reprochée de ne pas être une très bonne copine, quant il a envie et besoin de parler, je ne suis jamais dans les parages. Il a carrément raison, mais je ne voulais pas le voir. Je préférais garder mes distances quant je peux. J’avais failli aller faire un tour chez Pascal pour voir ce qu’ils faisaient tous les deux. Mais, je n’avais pas envie de sortir, alors je ne l’ai pas fait, trop la flegme.

    De toute façon, qu’aurais-je pu voir? Au mieux; rien. Au pire; me faire des idées. Encore pire; si Caro n’était plus chez lui, je me serais probablement ridiculisée à aller le voir, le supplier de me prendre dans ses bras. Encore plus lamentable; je lui aurais peut-être même demandé de me faire l’amour.

    Hum, il aurait peut-être refusé, ce qui m’aurait donné envie de creuser un gros trou pour m’enterrer dedans et mourir sur place! Non, la flegme a vraiment du bon; loin des yeux, loin de la torture mentale. Bon, sauf qu’à 3h du matin, je me suis mise à regretter… C’est clair, je suis trop conne!



    votre commentaire

  • Dimanche, 2 Mars 2014 - 61/14 - E.T. maison le retour!

    Journée parfaite; natel éteint dans un coin, télé, lecture, et de petites siestes quant les yeux ne voulaient plus. Pascal est rentré beaucoup plus tôt, et il a dit que sa femme restait toute la semaine au chalet avec ses parents. Il m’a invitée à manger. J’ai appris qu’il avait aussi proposé la même chose à Caro. Il lui avait dit que s’il mangeait avec moi, il passerait après chez elle, en rentrant.

    Hum… petit malin! J’ai donc proposé à Caroline qu’on se voit tous les 3. Elle a paru hésité. Je crois qu’elle préférait le voir après, seule. Elle a fini par accepter, probablement trop impatiente de le voir.

    A vrai dire, je n’étais pas d’humeur à le voir, ni à jouer aux petites conversations, sourire, et faire la jolie. Pas envie de troquer mon training contre un jean, de me maquiller, et surtout pas envie de sortir de chez moi. Très probable à cause de sa double invitation, ou peut-être parce que je ne me sentais pas au meilleur de ma forme. Ou tout simplement parce que je n’avais aucune envie de sortir.

    Au dernier moment, j’avais pris ma décision, alors j’ai averti Pascal et Caro qu’ils mangeront sans moi, que je n’avais pas envie de sortir.

    Caroline m’a rappelée droit derrière pour savoir si c’était à cause de ce qu’elle m’avait dit. Je lui ai dit que non. Que j’avais passé mon week-end en training, et que j’avais envie de traîner comme ça jusqu’à demain. Je lui ai dit que je le verrais probablement la semaine prochaine, vu que Jess restait au chalet. Elle n’avait qu’à profiter de sa soirée avec Pascal.

    Pascal a essayé de me joindre pendant que j’étais en ligne avec Caro, mais comme je ne sais pas prendre 2 appels en même temps, je l’ai rappelé pour lui répéter la même chose. Lui aussi pensait avoir fait quelque chose qui m’aurait fâchée. Non mais, qu’est-ce qu’ils ont tous les deux!! A croire que je me fâche sans arrêt pour n’importe quoi!!!

    J’étais contente de montrer à Pascal que je ne risque pas de courir dès qu’il lève son petit doigt!

    Hihihi, Caro m’a dit qu’il était troublé, que pendant tout le repas, il lui a posé des tonnes de questions sur moi; si j’avais rencontré quelqu’un d’autre, etc. Pascal est rentré directement chez lui après le resto. Caro lui a proposé de passer prendre un café chez elle, mais il a refusé. Il était fatigué.



    votre commentaire

  • Samedi, 1er Mars 2014 - 60/14 - E.T. maison!

    Argh, pas envie de sortir, juste de rester à la maison, au chaud. J’ai voulu me forcer un peu, et j’ai demandé à Layne ce qu’il faisait. Layne était sur un “coup, rire. Il faut croire que je ne devais pas sortir ce soir. Caroline voulait monter à Gstaad pour espionner ce qui se passait au chalet. Grrrh, pas envie.

    Je lui ai sorti l’excuse que je sortais avec Layne ce soir. J’espère seulement qu’elle ne tombera pas nez à nez avec lui.

    Boh, je pourrais toujours dire que ça a été annulé au dernier moment.

    Je me suis lancée dans la lecture, bien au chaud sous une bonne couverture, la télé en sourdine. Il y avait “The Walking Dead”. J’ai enregistré pour regarder plus tard. De toute façon, j’ai déjà vu tous les épisodes qui passent à la télé.

    De temps en temps, j’ai de grosses angoisses qui me terrassent; Pascal me manque! Il ne m’aime plus? Est-ce que je ne perds pas mon temps plantée à la maison? Est-ce que je n’aurai pas dû aller avec Caro au chalet? Est-ce que cette vie vaut la peine d’être vécue? Est-ce que je trouverais un autre garçon qui me plaît autant que Pascal? Est-ce que c’est ça la vie que je vais mener jusqu’à la fin?Est-ce qu’il me manquera toujours autant? Est-ce que ça passera?

    Est-ce que je m’ennuie? Non, je ne crois pas. Mais j’ai l’impression que la vie est ailleurs...



    votre commentaire

  • Vendredi, 28 février 2014 - 59/14 - Pascal appelle Caro, pas moi?

    Alors ce qui est bien avec Layne, c’est que je n’ai pas de compte à lui rendre. C’est la même chose dans l’autre sens, il n’en a pas à me rendre non plus. Il fait ce qu’il veut, on ne sort pas ensemble, mais on couche ensemble. De temps en temps seulement. C’est seulement quant on sort tous les deux, qu’on fait attention de ne rien faire qui puisse humilier l’autre. Si on sort les deux, alors on rentre ensemble. Ou, Layne me ramène, et après, il fait ce qu’il veut. Bref, on connait les limites à ne pas franchir, on est bien rôder.

    Hhhhh, gros soupir… avec les autres, c’est… un peu plus compliqué! On n’a jamais de discussion franche à ce sujet, alors ça coince souvent. J’ai aussi réalisé qu’il fallait que je prenne un peu de distance avec Thomas. Parce que, si j’ai l’intention de voir Pascal de temps en temps, je ne peux pas en même temps avoir une histoire avec Thomas. Ce qui me fait mal au coeur, parce que je l’aime beaucoup.

    D’après ce que j’ai compris, les parents passent le week-end au chalet, donc, pas de foire entre potes. Pascal, Thomas et Jess sont conviés à passer le week-end avec eux. D’un côté, ça me rassure de les savoir là-bas. Avec ses parents dans le coin, aucune chance qu'il fasse des bêtises! Je me sens soulagée et tranquille. Par contre, je devrais faire la “banboula”, mais j’ai tellement envie de me larver le week-end complet à la maison, je n’ai pas le courage d’aller me traîner de boîte en boîte, de bar en bar.

    Caroline est hyper déprimée, alors je me suis forcée à aller passer la soirée chez elle. Malgré le fait qu’elle savait comme moi que Pascal était à Gstaad, elle a été voir chez lui. Je l’ai attendue chez elle, je n’avais aucune envie d’aller me les geler dans le noir, pour regarder des fenêtres sans lumières. Sans personne.

    Depuis que Pascal avait rompu avec elle aussi, elle l’avait revu 3 fois en tête à tête. Ils ont couchés ensemble, 1 fois. Ça ne m’a pas fait sauté au plafond. Je préfère ça, plutôt qu’il se mette à fantasmer là-dessus. A rêver de ce qu’il ne peut plus avoir. Caroline m’a demandé si je croyais franchement que c’était terminé, terminé, ou si les choses pouvaient revenir comme avant.

    Que répondre??? Franchement, je ne savais pas. Tout comme elle, je l’espère aussi… mais…

    Caroline le trouvait changé. Il semblait plus dur, désabusé. Ce qui pouvait le faire redevenir comme avant, c’est qu’il n’aime pas vraiment Jess. Ils sont mariés, mais ça s’arrête là. Pascal a beaucoup d’affection pour elle, mais est-ce que cela suffit??? Peut-être. Peut-être pas. L’avenir nous le dira. Moi, je n’avais pas envie, comme elle, de passer mon temps à espérer, à attendre.

    J’avais peur que Pascal tombe amoureux d’une autre et alors, elle aura perdu son temps à moisir de l’attendre. Mais, Caroline ne voulait personne d’autre. Elle était prête à attendre. Des siècles s’il le fallait. Ça m’a fait peur, et mal au coeur pour elle. Peur, parce que, je crois bien que, quelque part, moi aussi j’attendais. Mais, à la différence de Caro, j’avais bien l’intention de profiter de ma liberté.

    J’ai éprouvé un affreux sentiment de jalousie quant Pascal l’a appelée durant la soirée. Bon, c’est clair que moi, je n’aurai pas répondu. J’ai été un peu fâchée qu’elle lui apprenne que j’étais là. J’aurai préféré qu’il n’en sache rien. Puis, elle m’a dit qu’elle avait essayé de l’appeler tôt dans la soirée, 2 fois, et qu’elle lui avait laissé plusieurs messages. Ça m’a un peu rassurée. J’aurai été énervée contre lui de savoir qu’il pensait plus à elle qu’à moi.

    Pourtant, j’ai refusé de lui parler… je lui expliquerai pourquoi.

    Merde, pas top de passer la soirée avec Caro, ça me fait seulement ressasser, et penser à Pascal ! On a passé toute la soirée à ne parler que de lui; ce qu'il fait, ce qu'il cherche, ce qu'il veut... L’empêche, son coup de fils m’a fait ressentir de la jalousie. Une jalousie qui vous grignote de l’intérieur, vous fait regretter de prendre le large, regretter de ne pas tout accepter, pour l’avoir encore un peu.



    votre commentaire

  • Jeudi, 27 février 2014 - 58/14 - Je tiendrais le coup

    Jeudi, j’avais rendez-vous chez Marie à 16h, pour ses albums encore. Ça m’emmerdait carrément, j’étais naze, parce que j’étais rentrée tard, et j’ai lu jusqu’à ce que j’aie terminé le livre que j’avais entamé. Comme j’avais aussi promis à ma soeur d’aller prendre un café avec elle le matin, vers 9h, je n’ai pas fermé l’oeil. Donc, je manquais cruellement de sommeil.

    Je savais que Marie avait l’ostéopathe avec Roméo, et qu’elle pensait être à la maison à 16h. Elle n’y était pas. J’étais trop contente de filer. J’ai croisé Yves, et je lui ai dit que j’avais laissé le cadeau d’anniversaire de son frère pendu à la porte. J’ai foncé pour rentrer et me jeter au lit.

    Le soir, en pleine forme, je me suis pointée au rendez-vous avec les copains, au Time-Out. Thomas s’est précipité à mon arrivée. Pascal est arrivé après moi, mais j’ai fait comme si je ne l’avais pas vu. Il est venu me faire la bise. Aghrh, son contact me fait toujours dresser les poils, j’adore. Et il sent si bon. Son odeur fait tournoyer des tonnes de souvenirs de lui. Afff, il me manque cruellement.

    Maud la pouffe de service était là et lui tournait autour. Comme il ne bougeait pas, et restait à côté de moi, Maud est venue le saluer. Elle lui a passé les deux bras autour du cou. Tout ça juste pour une bise sur la joue? Quelle cruche. J’ai voulu me tirer, mais Pascal qui avait dû voir venir, m’a attrapée par le bras. Maud m’a coulé un regard qui m’aurait taillé les jambes si ses yeux avaient été des couteaux.

    Pascal a réussi à se débarrasser de Maud et m’a prise par la main. Thomas a essayé d’intervenir, se demandant où on allait comme ça. J’ai pris la main de Thomas pour empêcher Pascal de me séparer du groupe. Pascal a dit qu’il voulait me parler. Ha! Trop facile! Je me suis faite un plaisir de lui répondre ce qu’il m’avait balancé au chalet; ”c’était mieux pas”.

    Pascal n’a pas compris. Je ne pense pas qu’il ait fait le rapprochement. Il a froncé les sourcils montrant son incompréhension (trop mignon). Avant qu’il ait pu réagir, je m’étais glissée vers Thomas, qui m’a passé le bras autour de la taille. Pascal est resté planté là, mi-perplexe, mi-furieux. Il n'a pas l'habitude que les choses ne se passent pas comme il veut.

    Il a essayé de me demander de lui expliquer ce que je voulais dire, alors à l’oreille, je lui ai dit que c’était ce qu’il m’avait répondu au chalet quant je lui ai demandé si je pouvais dormir avec lui. Et là dessus, j’ai prétexté que j’allais aux toilettes, mais j’ai filé. J’ai ensuite envoyé un message à Thomas pour m’excuser d’être partie comme ça.


    Pascal m’a bombardée de messages. Il est parti dès qu’il s’était rendu compte que je n’étais plus là. Il voulait me voir, me demandait où j’étais, si je le fuyais. Je n’ai pas répondu. J’étais presque sûre qu’il irait vérifier si j’étais chez Layne. Pour en avoir le coeur net, je me suis planquée dans le coin. Et oui, il est passé. Je n’étais pas déçue de ma soirée!!!

    Pascal ne sait toujours pas ce que j’ai comme voiture, donc il ne m’a pas vue. Il est même descendu de sa voiture pour aller voir autour de la maison. Ça lui fait du bien de se torturer comme je l’ai souvent été. Je suis partie avant qu’il ne revienne à sa voiture. Pendant qu’il vérifiait les alentours, il m’a envoyé encore des messages, pour me demander d’avoir au moins la gentillesse de lui répondre.

    Je n’ai pas répondu. Je ne veux pas lui donner l’occasion de me faire craquer. Je le ferai demain… peut-être...



    votre commentaire