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    Août 2019 - (3)  Nous 2, c'est fini.

    Mardi, on est parti ensemble pour New-York. Pascal m'a accompagnée à l'hôtel. The Westin, à 5mn de son boulot. Il est resté jusqu'à minuit, et n'est rentré qu'après le 5ème appel de sa femme. Jess voulait savoir ce qu'il faisait, où il était, etc. A Houston déjà, j'avais remarqué que ses échanges téléphoniques avec Jess étaient tout à fait naturel. Comme un vrai couple quoi.

    Comment dire; il souriait en lui parlant, il était calme et parfois rigolait même. Leur relation semblait tout à fait normale. Quoique je puisse penser, je n'ai rien dis. Il n'y avait rien d'anormal en fait à ce qu'ils aient une relation de couple normale. Je ressentais quand même une petite piqûre de jalousie.

    Pascal m'a trainée visiter les alentours de mon hôtel. Il m'a montré où il s'arrêtait pour prendre son café à l'emporter le matin, la route qu'il prenait. On a quand même éviter, étant donné qu'on était dans son voisinage, de s'embrasser comme des malades. Il m'a juste fait un bisou sur la tempe 1 ou 2 fois. On a évité de se tenir par la main.

    C'était pour ça que Pascal avait voulu profiter à fond de ces quelques jours à Houston, parce qu'ici, on était bridé. On ne pouvait pas s'embrasser, ni se tenir par la main, aucun signe d'affection. Ici, on était coincé, trop de risques de croiser des gens que Pascal connaît, ou qui connait le couple, ou Jess, donc par extension, son mari.

    Pascal a donc été rejoindre sa femme. Évidemment, je n'ai pas cessé de penser à lui, de me demander ce qu'il faisait. Espérant qu'il se soit couché en rentrant. Espérant que Jess soit déjà endormie.

    Vers midi le lendemain, Pascal est venu manger avec moi. On a mangé dans un restaurant près de l'hôtel.

    Malgré le trouillomètre à zéro, je suis sortie me balader autour de mon hôtel en direction de son travail. Enfin, je crois. J'étais pas encore au top, mais j'ai un assez bon sens de l'orientation. Je me suis enfilée dans le Shake Shack (pas sûre du nom). A mi-chemin. Quant Pascal m'a appelée pour me dire qu'il venait manger avec moi, je lui ai dis où j'étais. Il a été surpris que je sois sortie me balader. Le café a été pris d'assaut à midi. J'étais contente d'être arrivée plus tôt pour avoir une bonne place.

    Pascal avait pensé me rejoindre à l'hôtel, qu'on mangerait, puis... , et ensuite qu'il m’emmènerait à son appartement. Jess travaillait à l'autre bout de la ville, donc il n'y avait aucune chance qu'elle soit dans les parages. Moi, j'avais des doutes, parce que les choses arrivent quant on s'y attend le moins. Pascal m'a rassurée, il était parti en même temps que sa femme. Elle n'était pas malade, et avait des rendez-vous en début d'après-midi et tout le reste de la journée. Après le boulot, elle avait une verrée avec ses collègues, donc, elle rentrerait probablement tard.

    Pascal avait pris son après-midi. On a donc été jusqu'à son appartement. Je ne m'attendais pas à voir un portier. Pascal lui a filé un billet en lui demandant d'oublier notre passage. On est donc monté. J'avais les oreilles en feu. L'impression que j'avais dû passer pour une prostituée que Pascal ramenait en douce chez lui. Ou le portier a dû se douter que j'étais peut-être sa maitresse? Glups.

    Wahhh, son appartement était mieux que je l'imaginais. Ok, Jess a du goût. Ici, c'est elle qui a fait la décoration de l'appartement. Magnifique. Magnifiquement magnifique. Une vue est à couper le souffle. C'est leurs parents qui leur avait offert cet appartement, ils ne s'étaient pas foutu de leur gueule. Je comprends pourquoi Jess veut le garder s'il se séparent. L'appartement avait dû coûter la peau des fesses.

    De ma vie, je ne pourrais jamais, jamais, m'offrir un appartement pareil. Il valait plusieurs millions j'imagine. Et les meubles, ils ont sûrement dû coûter 1 ou 2 millions. J'étais impressionnée. On ne venait pas du même monde c'est sûr. Même si j'aurai pu m'en douter déjà en voyant son appart en Suisse, mais ici, le quartier, les meubles, la vue, c'était clair.

    Je partais le lendemain, et ça me fichait la déprime déjà. J'ai demandé à Pascal s'il pensait pouvoir passer la nuit avec moi. Il a décidé de le faire, même s'il s'exposait à des ennuis ou questions de sa femme. J'avais des remords de lui demander de se jeter dans la tourmente pour moi. Mais il m'a assuré qu'il l'avait déjà projeté aussi. Il me pouvait pas imaginer rentrer dormir chez lui, près de Jess, alors que je partais le lendemain.

    Pascal avait pris congé et avait raconté qu'il devait se rendre à Washington.

    Comme Jess ne se préoccupait pas de ce qu'il avait à faire au boulot, elle ne se doutait de rien. Donc, vers 18h, il est rentré prendre quelques affaires pour partir.

    Pascal a laissé sa voiture dans le garage de l'hôtel, parce qu'il m'accompagnait demain à l'aéroport. Je n'étais pas très sûre de le vouloir. Je risquais de fondre en larmes devant lui. Zut.

    Comme je m'y attendais, de se séparer à l'aéroport a été horrible. J'ai pleuré pendant un bon bout du retour.

    J'aurai voulu retourner lui dire au revoir correctement sans fondre en larmes à nouveau. Ou même rester quelques jours de plus. Aff non, ce n'était pas possible.

    En arrivant, j'ai laissé un message à Pascal pour lui dire que j'étais bien arrivée. Je suis restée pendant plusieurs jours dans un état de légume. Je n'avais envie de rien, je me sentais vide et déprimée. J'ai planté mon natel sur discret et j'ai végété un trou énorme au fond du cœur.

    Après avoir bien réfléchi, j'ai décidé qu'il était temps que je mette un terme à cette folie avec Pascal. Ma vie en dépendait. J'ai décidé de ne plus répondre à ses appels. A la longue, Pascal comprendra que c'était fini. Si non, alors je lui enverrai un message pour le lui dire. Je ne peux pas de vive voix, alors je choisi d'être lâche.

    Dimanche, 31 août; avec ma sœur, on a passé la soirée à jouer aux cartes sur le balcon, mon ex balcon, chez Lilice. Le petit chou nous a fait trop rire. Maintenant qu'il tient sur ses jambes et peut marcher, il n'arrête pas. Il a essayé plusieurs fois de s'asseoir entre les pattes avant de Dobby, mais elle se levait aussitôt.

    Peut-être la peur de le blesser. Elle est tellement brusque par moment. Le petit cherchait tout le temps à la toucher. Les seuls moments où Dobby collait Liam, était quant il avait de la bouffe dans les mains. D'ailleurs à table, Liam lui a balancé la moitié des frites et du pain. Elle s'est mise à le suivre partout.

    Il faisait frais, mais on est resté quand même sur le balcon à jouer. Je suis toujours déprimée même si je fais tout pour le cacher à mon entourage.

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    Août 2019 - (2) C'était nous...

     Une voiture m'attendait à l'aéroport de Houston. C'est la 1ère fois que je voyage en 1ère classe. Impressionnant. Je me suis sentie toute petite. Rien à voir avec l'espace réservé aux passagers habituels. Wahhh, jamais eu autant de plaisir à voyager.

    Pascal m'attendait à l'aéroport de Houston. Aïe, il est trop chou. J'ai sauté dans ses bras. C'était vendredi soir, donc on avait tout le week-end ensemble. Pascal s'était arrangé pour participer à la conférence le jeudi et vendredi, et comme il devait être là aussi lundi et mardi, on avait le week-end entier.

    Évidemment, il y avait aussi des colocs organisés le week-end. Il participerait juste 1 heure le samedi en début d'après-midi, et retour à l'hôtel. L'hôtel avait été réservé par sa boîte, donc il y avait bien des personnes de sa boîte dans le même hôtel. Pascal ne voulait pas se casser la tête avec ça, moi oui. Pour moi, il pouvait bien rester toute la matinée ou même l'après-midi, comme ça, je pourrais traîner au lit.

    Pascal ne voulait pas participer aux rencontres prévus le week-end par la compagnie qui avait organisé les cours et conférences. Malgré tout, ils avaient essayés de le joindre en remarquant son absence.

    On a mangé dans un restaurant qui surplombait la ville. C'était magnifique. Avant de sortir, je tirais un peu la gueule, parce que je pensais ne pas cadrer avec ce qui m'entourait. Alors je ne voulais pas sortir de l'hôtel. Pascal a tellement insisté que j'ai fini par céder.

    On a fait un tour en calèche pour visiter la ville de nuit. On avait l'intention de faire la même chose de jour.  Évidemment, on a été voir un match dans le mythique stade de foot. Je ne suis pas passionnée par le foot moi, mais ça valait la peine. Puis, je voulais lui faire plaisir. Je n'arrivais toujours pas à croire que j'étais sur le territoire Américain!

    Samedi, on a fait une balade en ville, au bord de l'eau. Une voiture nous suivait, dès qu'on en avait, enfin non, dès que j'en avais marre, on sautait en voiture. On a fait notre balade en calèche. Visiter des galeries, des musées. C'était chouette. On a mangé sur une chouette terrasse vers midi, et on s'est baladé mains dans la main à travers Houston.

    Pascal était tout tendre, très amoureux et me collait contre lui tout le temps. Et des tonnes de bisous; dans le cou, sur le front, la nuque, la paume, sur le main, partout partout. Je l'adore. Grace à sa façon d'être, je me suis sentie très vite à l'aise et heureuse. Le bonheur quoi.

    On s'embrassait sans arrêt. Au début, c'était lui qui recherchait sans arrêt le contact, ou m'embrassait. J'ai fini par me détendre et me laisser aller à lui sauter au cou et à l'embrasser autant que je voulais. Pascal n'était pas en reste. J'avais même fini par oublier qu'on pouvait croiser des gens qui travaillent dans la même boîte.

    Mais qui aurait l'idée d'aller commenter le fait de l'avoir vu avec une autre femme. Certainement pas ses collègues masculins. Les hommes ne font pas courir leur bouche avec ça, seules les femmes font ça.

    Pascal avait prévu des choses le soir, moi je préférais passer ma soirée dans ses bras. Il m'avait tellement manqué. En se baladant l'après-midi, il m'avait dit que je lui avais manqué et avait voulu rentrer à l'hôtel. Je ne voulais pas à ce moment là. C'était agréable de me balader à ses côtés, alors je ne voulais pas abréger ce moment. Ce soir là, j'avais assez marché pour toute ma vie, et je n'avais pas envie de sortir.

    L'après-midi, alors qu'on sortait de l'hôtel, pour aller visiter le musée de la NASA, on est tombé sur un type qui travaille dans la même compagnie que Pascal, mais d'un autre département. Hum. Ils se sont salué et échangé quelques mots. Je l'ai vu lorgner dans ma direction. Il s'attendait probablement à ce que Pascal me présente.

    Pascal m'a quand même prise par la main, alors que j'essayais d'éviter ça. Le type devait certainement nous regarder nous éloigner. S'il connaissait sa femme, ou rencontrait sa femme, il saurait que ce n'était pas moi. Mais Pascal ne voulait aucun frein ce week-end, puis il nous avait sûrement vu nous embrasser en sortant de l'hôtel, donc, il estimait que ça ne changeait plus grand chose.

    En début de soirée, vers 19h, une collègue à lui a appelé pour lui demander de les rejoindre au bar pour un petit verre avant le dîner. Pascal a cherché à éviter cette corvée. Je lui ai fait signe d'y aller. Il a dit qu'il verrait avant de raccrocher et m'a demandé pourquoi je lui faisais des signes.

    J'ai pensé que s'il y allait, on passerait inaperçu. Il ne voulait pas. C'était ça de moins à passer ensemble, et il voulait profiter de ce week-end, ne sachant pas quant on se reverrait. Comme un de ses collègues a téléphoné encore, il a fini par descendre boire un verre, pendant que je trempais dans la baignoire.

    Dimanche, on a pris le déjeuner ailleurs qu'à l'hôtel. Puis on est rentré et on a passé la journée au lit. Le soir, on est sorti manger des grillades. Il n'a pas arrêté de m'embrasser. Moi aussi. Quant ce n'était pas lui, c'était moi qui lui sautait dessus pour l'embrasser ou me serrer contre lui.

    Wahh, j'avais le cœur en fête, je nageais sur un petit nuage tout rose. Je remplissais mon accumulateur douceurs et tendresses pour les longs mois où je ne pourrais pas le voir. Et aussi... parce que quelque part dans ma tête, je savais qu'il fallait que j'aie le courage de rompre avec lui. Je voulais qu'il se rappelle de ces quelques jours ensemble. Je voulais que quant il pensera à moi, qu'il se rappelle de nous à Houston.

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    Août 2019 - (1) Visiter New-York??

    Pfffouh, les ennuis continuent. Pourtant, je pensais que ça s'arrêterait puisque Pascal est aux States et qu'on ne se voit plus. Peut-être que son père sait qu'on s'appelle ou qu'on se voit toujours? Ou est-ce parce que Pascal insiste toujours pour revenir en Suisse?

    Wahh, je ne dois pas y penser, je ne dois plus le voir, point. J'ai encore mal au cœur quant je pense à lui. Bizarrement, je préfère qu'il reste aux US, parce que s'il était là, je souffrirais trop de ne pas pouvoir le voir ou l'approcher. Et encore pire, ce serait l'enfer de le voir avec une autre femme.

    J'ai envoyé un message à Pascal pour son anniversaire. Pas les moyens de lui envoyer un cadeau overseas. Caro, elle, lui a envoyé un pull qu'elle a fait elle-même. Elle m'a montré la photo. J'ai tiré la gueule de n'avoir pas pensé lui envoyer quelque chose. J'aurai aussi pu lui envoyer un tableau, ça lui aurait sûrement fait plaisir. Caro m'a battu à l'arrivée encore une fois.

    Je suis une petite amie lamentable... Quant je lui ai dis ça, Pascal a éclaté de rire. Il m'a dit que le pull passera sûrement inaperçu, mais un tableau? Jess risquait de le mettre en pièce, alors j'avais bien fait. Il a dit qu'il préfèrerait m'avoir en vrai comme cadeau. J'ai souri. Je sais qu'il essayait seulement de me rassurer. Du coup, il a reparlé de son envie que je vienne à New-York. Il voulait me montrer l'endroit où il vit.

    Hum, moche à dire, mais j'ai été contente d'apprendre par Caro elle-même qu'elle avait aussi des ennuis. Elle s'est faite virée de son boulot elle aussi. J'ai été d'une certaine manière contente de savoir que les problèmes n'étaient pas seulement pour moi et ma famille, et qu'on était dans le même bateau.

    Elle a eu le courage, elle au moins, d'en parler à Pascal. J'ai compris que c'était une mauvaise idée, parce que Pascal a fait un foin pas possible, et les problèmes de Caro n'ont fait que s'empirer.

    J'ai dû changer de voiture, l'ancienne a rendu l'âme. Une dépense inattendu. Et les emmerdent administratives ne font que s'accumuler. J'en ai ras la casquettes. Littéralement. On pourrait presque penser que je tiens un bureau, toutes les lettres, courrier à trier, choses à faire et autres, que je dois faire tous les jours, je me demande ce que je ferais si en plus je travaillais à plein temps dans un bureau!

    Caro a reçu une tonne de poursuites, injustifiées, mais d'ici que les choses rentrent dans l'ordre, beaucoup d'eau aura coulé sous les ponts, et elle sera elle aussi dans la dèche financière. Ici, dans ce beau pays, qui n'en ont que pour les riches, tous les frais pour rétablir la situation sont à la charge des pauvres pékins emmerdés par l'administration.

    Pascal m'a invitée à aller le rejoindre à New-York. Arf, je ne sais pas... C'est lui qui m'offre le billet et tout, mais, j'ai quand même pas les moyens d'aller dépenser là-bas, l'argent que je n'ai pas, alors que j'ai des trucs à payer avec cet argent ici. Je dois au moins prendre 500CHF, et ce n'est pas grand chose. En général, je prévois beaucoup plus quant je voyage. Je ne sais pas quoi lui dire.

    Pour gagner du temps, je lui ai dis que plus tard ok, mais que ce mois-ci, j'avais des tonnes de trucs à faire avec ma famille, surtout m'occuper de mon papa et de ses rendez-vous à Lausanne. Pascal m'a demandé si une de mes sœurs ne pourraient pas prendre le relai, juste une semaine? Non. Elles trouveront des excuses pour ne pas avoir à se sortir les pouces du cul. Comme d'habitude. Je ne peux pas leurs faire confiance.

    Pascal a dit qu'il s'arrangerait alors pour organiser quelque chose vers la fin août. Il doit aller 3 jours à Houston. Il aimerait que je le retrouve là-bas, ensuite, il me ramène à New-York avec lui. Il veut me montrer la ville et son appartement, si je veux. Jess travaille la journée, donc ça ne posera pas de problème.

    Je trouve un peu risqué, mais une chose est sûre, c'est pas là-bas que son père le surveille. D'un côté, c'est peut-être une bonne idée New-York. En quittant le boulot, Pascal pourra passer à mon hôtel, ni vu ni connu, et on pourra passer une bonne partie de la soirée ensemble. De temps en temps, il pourra même dormi avec moi. Ce serait trop cool. Jess ne se doutera de rien.

    Mais, l'idée d'aller tout là-bas m'angoisse. J'ai l'impression que ce sera un gros test. Pascal risque de se rendre compte que je ne cadre pas dans sa vie... alors j'ai peur.

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    Rattrapage de mon journal jusqu'en 2019
        (rattrapage fait pour;  2016-2017-2018... 2019) 

    >Mai 2019 <
        ---------------   
     
    Wahhh il neige !
                          
    ---------------   
    Quel flemmard
                           ---------------    On trouve rien sur Eklablog
                           ---------------    Toujours pas de loyer

                           ---------------    Voiture en feu - Fibre Optique
                           ---------------    Assez c'est assez
    >Juin 2019 <
     
    ---------------    Naissance du petit Liam Logan
     
    >Juill 2019<   ----------------   Rencontre avec la maman à Pascal
                          ----------------   Anniversaire Thomas 
    >Aout 2019 <
     
    ---------------    Visiter New-York?
                          ----------------    C'était Nous... 
                          ----------------    Nous 2, c'est fini...  

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