• Samedi, 28 septembre 2013 - 271/2013 - Dispute... entre Caro & Pascal...

    

Au moins, c’est clair; Pascal ne sort avec personne, n’a de compte à rendre à personne. Il est marié, et même si sa femme et lui vivent séparément, Pascal n’a pas l'intention de s'engager, ou de se sentir obligé envers qui que ce soit!

    C’est ce que Pascal a signifié à Caroline. Elle lui demandait des comptes, en larmes, lui faisant une petite scène, ce que je n’aurai jamais osé faire! On ne peut pas dire que je ne le savais pas. Mais, tout de même. Ou peut-être était-il simplement fâché qu’elle lui casse les pieds à lui demander de se justifier, comme si elle en avait le droit.

    Pascal avait l’air calme, mais le petit froncement sur son front et les mouvements de sa mâchoire signifiaient clairement qu’il était énervé.

    Caroline lui a reproché de souffler le chaud et le froid, ensuite de la laisser dans un “no-man’s-land”, sans explication ou sans que rien ne justifie qu’il la traite comme ça.

    Puis, comme pour se raccrocher à une pierre qui se trouvait là, elle m’a désigné en demandant pourquoi il ne la traitait pas avec plus de respect, comme il le faisait avec moi. Donc, il ne pouvait pas prétendre ne pas avoir de compte à rendre. Qu’il n’aurait jamais osé me parler comme ça. Elle ne comprenait pas.

    J’aurai pu ouvrir ma bouche pour lui dire que, dernièrement, elle le voyait plus souvent que moi. Devrais-je lui rappeler leurs petits week-ends en amoureux? Paris? Londres?

    Pascal a jeté un regard dans ma direction, sans me regarder vraiment, puis il a dit qu’il n’avait pas non plus de compte à me rendre. Il ne voulait pas avoir à se prendre la tête à chaque pas. Il ne sortait pas non plus avec moi. Mais, qu’elle ne devrait pas nous comparer. Que c’était différent.

    Quant il avait dit qu’il ne sortait pas non plus avec moi, mon coeur a fait une chute de plusieurs étages!. D’un coup. Comme sur un grand huit. Pour moi, il était temps de partir avant d’en entendre plus. Surtout, des trucs que je ne voulais pas savoir. J’ai pris la fuite. Finalement, la curiosité n’est pas toujours bonne. Et ça, je le savais déjà depuis longtemps. Puis, Pascal a ajouté que c’était différent me concernant. Il a tenté de me retenir.

    Mais non non non, je ne voulais plus rien entendre. Je préférais attendre que Caroline me raconte tout après. Si je reste, Pascal risque d’être plus tranchant et plus dur avec Caro. En quelque sorte, vis-à-vis de moi, parce qu’il pensait que ça me ferait plaisir. Pour ne pas que je puisse avoir l’impression qu’elle et moi sommes au même niveau.

    Puis, je ne voulais pas m’imposer, ni que Caroline se sente humilié par ma présence. Elle avait des choses à discuter avec Pascal, c’était entre eux, ça ne me concernait pas vraiment. Je n’avais pas à être là.

    Je leur ai fait la bise à tous les deux, et j’ai promis à Pascal de l’appeler dans la journée. En chemin, j’ai décidé de faire demi-tour. Au cas où Caro rentrait le coeur dans les godasses, je serais là pour tenter de lui remonter le moral. C’était mon amie aussi. J’avais le coeur serré pour elle. Les choses avaient mal démarrés, et j’avais peur que ça finisse mal pour elle.

    Je les ai regardé de loin se disputer. Beaucoup de gestes. Je me doutais bien que Caroline était en larmes. Je la voyais se prendre la tête entre ses mains. Elle secouait la tête, s’agrippait. J’ai pensé qu’elle finirait par partir en claquant la porte. Je la voyais s’effondrer petit à petit, puis… Pascal s’est avancé vers elle, et la prise dans ses bras.

    Petit à petit, les choses ont semblé se calmer. Caro et Pascal se sont embrassés. Toujours lovée contre lui, ils se sont assis, Pascal lui caressait les cheveux. Je crois qu’il avait dû capituler. Il avait peut-être fini par comprendre ce qu’elle ressentait. Je l’enviais de savoir trouver le chemin pour atteindre son coeur.

    Ils se sont levés pour se diriger vers la chambre, Caroline avait sa tête contre son épaule. Pascal a passé un bras autour de son épaule et lui a fait un bisou dans les cheveux. Ils ont éteint au salon, la lumière s’est allumé dans la chambre. Caroline dormait chez Pascal ce soir. Peut-être que si j’étais restée… Bon, je n’avais plus à me faire de soucis pour elle. Alors, je suis rentrée.

    Pascal m’a appelée vers les 14h. J’étais encore dans les vapes. Je ne m’étais pas couchée tout de suite. J’ai regardé des animés et joué au Monopoly sur internet. J’étais un peu préoccupée par ce que Pascal avait dit. J’essayais d’oublier. Difficile. Je me demandais aussi si je n’aurais pas dû rester, au lieu de rentrer comme si je n’en avais rien à foutre.

    Pascal m’apprenait qu’il devait jouer ce soir dans le groupe de son pote. Ça l’embêtait un peu, parce qu’il avait un match en fin d’après-midi. Ce serait la course. Il voulait savoir si je voulais l’accompagner ou pas. Je ne serais pas toute seule, Caro allait au match, puis au concert. Je préférais l’attendre après, à la maison, chez lui.

    Ça m’arrangeait, parce que ma nièce serait seule à la maison sinon. Elle sortait un moment pour voir son meilleur pote, Killian. Manu, le cousin à Killian serait également là, de même que la copine à Killian. J’avais promis de la descendre à la gare et d’aller la chercher au cas où. Ma puce passait avant tout.

    Après leur dispute d’hier, ils avaient besoin d’un peu d’espace. J’espérais malgré tout que les choses s’arrangent entre eux.

    Même si je suis raide dingue de Pascal, je ne veux que son bonheur, et Caroline est aussi ma copine. Et je sais qu’après une dispute, je devais les laisser un peu seul pour qu’ils puissent recoller les morceaux. Puis, je verrais Pascal après… et dormirais dans ses bras… :)



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  • Vendredi, 27 septembre 2013 - 270/2013 - J’ai du mal à digérer le coup d’hier soir!

    Dès que j’ai eu Pascal en ligne vendredi, je me suis jetée à l’eau. Inutile de prendre des gants ou de lui faire croire que je ne savais pas pour hier soir. Je ne savais pas si j’aurai envie de le voir ce soir. Tout dépendrait de mon humeur après lui avoir parlé. Ou disons que je verrais bien comment je me sens au fil de la journée.

    • Pascal, qu’est-ce qui se passe? Hier soir, tu ne voulais pas sortir, tu disais être fatigué, et quant je suis partie de chez toi, tu m’envoies un message disant que je te manquais déjà… Alors, parce que j’avais trouvé ton message adorable, et aussi pour te faire plaisir, je suis revenue… Tu n’étais pas à la maison? Toi qui étais si crevé, t’étais où?

    Gros soupir à l’autre bout du fils.

    • Je suis passé chez Caro.
    • C’est pas vrai… Je l’ai appelée figure toi. Alors, si tu pensais vite l’appeler pour qu’elle te serve d’alibi, c’est foutu.
    • Bon d’accord… Je suis allé rejoindre des copains de basket. J’avais pensé que tu dormirais à la maison, comme tu es partie si tôt… Ben, j’ai été prendre un verre avec eux.

    Pascal m’énerve là. Pfff, en plus, il avait essayé de me mentir en prenant Caro comme alibi. Pourquoi? Pourquoi ne pas dire tout de suite la vérité? Il me semblait clair qu'il se passait des trucs pas très nets. Pascal semblait vouloir voguer ailleurs!

    • Et je parie qu’il y avait Elodie ou Maud?
    • Hum… Maud était là. Désolé, je savais que ça ne te ferait pas plaisir.

    Direct une boule à l’estomac. Les soupçons et les doutes sont revenus à la charge.

    • Et tu n’es pas rentré!
    • Si, je suis rentré, tard.. c’était 2h du matin, je crois.
    • Tu me racontes des cracs.
    • Non, je te promets. A la fermeture du bar, on a encore discuté un moment devant, ensuite je suis rentré après avoir déposé Johnny.
    • Et tu n’as pas raccompagné Maud?
    • Non, elle était venue en voiture.
    • Tu me jures que tu n’es pas passé chez elle.
    • Je n’ai pas été chez elle. Pourquoi tu me fais toute une histoire à propos d’elle?
    • Parce qu’elle a toujours été malhonnête vis-à-vis de moi et de Caroline, alors ça ne me plaît pas de te voir faire pote-pote avec mes ennemies.
    • Ce ne sont pas tes ennemies voy…
    • Arrête de les défendre, ça m’énerve encore plus.

    Heureusement, il s’est tu et m’a laissé exploser à insulter ces pouffiasses. Je n’étais pas très fière de moi. S’il m’avait dit qu’il avait envi de sortir, je serais sortie avec lui. Au lieu de ça, Pascal me raconte des foutaises et se tire dès que j’ai le dos tourné. Je déteste ça.

    Le soir, on était invité chez Paul à Montreux pour dîner. C’était parfait et sympa. On a passé la soirée dans son appart. Ses parents ont une maison au-dessus de Montreux, partagé en deux; Paul vit au rez et ses parents au dessus. Ses copains ont proposé d’aller faire la tournée des bars. Je n’étais pas d’humeur, et heureusement, je n’étais pas la seule, sinon, j’aurai suivi le mouvement.

    Pascal a réalisé que je faisais un peu la tête. Tout au long de la soirée, je n’avais pas été très bavarde. Sauf quant j’étais en compagnie de Caroline. Je n’avais pas été très câline avec lui, préférant rester dans mon coin. En fait, je voulais rentrer.

    Alexia, malgré le fait qu’elle ne soit pas vraiment la petite amie officielle de Paul, jouait les maîtresses de maison!!! Elle ne m’adressait pas la parole. Alexia était jalouse de l’amitié que me lie à Caroline. 1 ou 2 fois Alexia a sussuré; “ta nouvelle meilleure amie”.

    Pascal m’a tenu par la main ou la taille la plus grande partie de la soirée. Mais ça me mettait mal à l’aise. Je ne savais pas ce que ses copains savaient, ni s’ils l’avaient vu avec d’autres filles, donc je n’avais pas envie de me ridiculiser à jouer les amoureuses.

    Dans la voiture, Pascal m’a fait remarqué que j’avais semblé ailleurs, froide. Il voulait savoir ce que j’avais!!!??? C’est dingue qu’il ose me poser encore la question! Je ne suis pas restée dormir chez lui. Pas qu’il imagine que j’avais peur. Puis, je n’avais pas envie de rester, j’étais fâchée qu’il soit ressorti hier soir, point barre.

    Caroline est arrivée avant que je sois partie. J’étais trop curieuse de savoir ce qui allait se passer. Je savais que Caroline allait passer chez lui… Elle voulait lui parler. En fait, plutôt lui faire une scène à propos d’hier soir… Je lui ai raconté pour Maud. Une fois de plus, elle faisait le sale boulot à ma place.



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  • Jeudi, 26 septembre 2013 - 269/2013 - Pascal me cache des choses…

    Je ne lui ai pas dit que je ne pouvais pas rester. Pascal a voulu qu’on se voit chez lui. Il n’avait pas envi de sortir. Je sais qu’il n’ait pas rentré directement du boulot. Quant je suis arrivée chez lui, il venait d’arriver et n’avait pas eu le temps de se changer. Pascal m’a entraînée sur le canapé avec ses bisous partout, de là, on a fini dans sa chambre.

    C’était presque comme si on ne se voyait que pour coucher. Ou était-ce pour m’empêcher de parler, ou de poser des questions?

    Surtout que juste après, je me suis levée pour m’habiller! Ça donnait vraiment l’impression que je n’étais venue que pour me faire sauter. On n’a même pas réellement parler. J’étais tellement bien dans ses bras. Avant de finir par m’endormir, et de ne plus avoir envie de m’en aller, je me suis habillée pour partir. Pascal était surpris, il m’a tirée dans le lit, recommencer ses petits câlins coquins.

    Arfff, son petit sourire coquin… Le voir allongé sur le dos, ses bras musclés derrière la tête, couvert seulement jusqu’à la taille, ses plaques de chocolats, etc… j’avais envie de lui sauter dessus…

    Mais, je suis restée raisonnable. Je devais rentrer. J’avais reçu un message de ma frangine, ma nièce était seule à la maison. Je suis sûre que ma puce n’avait pas mangé.

    Donc, je me suis arrêtée pour acheter du pain, et dès que je suis arrivée, j’ai fait à manger. J’étais crevée pourtant, et si j’avais été seule, je me serais sûrement couchée direct.

    Pascal m’a demandé pourquoi j’avais dû rentrer, je lui manquais déjà… Hum… Foutaise… Super grosse foutaise…

    A cause de son adorable message, et pour lui faire plaisir, dès que la petite était couchée, je suis repassée chez Pascal. Juste l’envie d’un petit câlin… Surprise! Pascal n’était pas chez lui!

    Chez Caroline peut-être?? Je lui demanderais. Bah, je n’ai pas pu attendre demain. 2h du matin, mais tant pis, j’ai aussitôt appelé Caro… Il n’étais pas chez elle non plus!

    Pascal me cache des choses… Ça ne va pas du tout… Je m'inquiète… Il faut absolument que je sache ce qui se passe



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  • Mercredi, 25 septembre 2013 - 268/2013 - Je veux lui manquer un peu...

    Wafff, Pascal avait un match ce soir. Sûr qu’il le savait déjà hier, alors pourquoi proposer de se faire un ciné? Pascal a pensé qu’on pouvait se retrouver chez lui après pour quand même regarder un film, puisque ce serait trop tard pour aller au ciné. J’ai accepté, sachant que j’allais organiser quelque chose pour ne pas être à sa dispo.

    J’ai annulé par sms alors qu’il jouait. Je voyais Vania ce soir. On a passé la soirée à se raconter nos malheurs. Pascal était déçu de ne pas me voir. On s’est donné rendez-vous demain soir. Pascal m’a prévenu qu’il allait d’abord nager, donc on se retrouvait chez lui vers 21h. Ça m’allait très bien comme ça. Je veux lui manquer un peu...

    En quittant Vania, je suis quand même passée chez Pascal et j'ai été contente de voir qu'il était sagement à la maison. Thomas était avec lui. J'aurai été assez déçue qu'il profite du fait qu'on ne se voyait pas, pour filer traîner ses guêtres ailleurs. Je me suis faite violence pour rentrer au lieu de rester là à les regarder… vivre. Trop mignons.



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  • Lundi, 23 septembre 2013 -  266/2013 - Pascal est ressorti… RV avec Maud?

    Waouh, je suis furax, Pascal est sorti après mon départ. Il avait rendez-vous avec ses copains… et Maud. Caroline me l’a dit. Elle savait que quelques potes à Pascal se retrouvait au Tiger et que Pascal était sensé y passer, alors elle est sortie. Ça ne l’a pas étonnée de voir que Maud et Solène étaient également là-bas.

    Caroline a dit que Pascal a tiré la gueule en la voyant. Il n’était pas content d’avoir été pris en flag et a tout de suite deviné qu’elle me le dirait. Alors Pascal lui a demandé de ne rien dire. Caro était furax et m'a dit qu'il a passé presque tout son temps avec Maud et sa copine. Que Pascal l'avait ignorée. Il lui avait dit bonjour en arrivant, puis lui a demandé de tenir sa langue et c'est tout.

    D'ailleurs, Pascal est parti avec Maud et sa cops 40 minutes après. J’aurai dû attendre plus longtemps et le suivre et le confronter, pour lui demander à quoi il jouait là! Zut. Surtout lui demander ce qu'il fichait dehors après m'avoir dit qu'il était crevé!!!

    J’ai promis à Caroline de ne rien dire, jusqu’à ce que je l’apprenne par quelqu’un d’autre. Caroline veut qu’il n’apprenne pas qu’elle avait manqué à sa parole. Thomas n’était pas avec eux. J’imagine qu’il était avec sa copine. Au moins, il n’était pas complice dans l’histoire. Donc, quant j’ai parlé à Pascal aujourd’hui, j’ai fait semblant de rien.


    Mardi, 24 septembre 2013 - 267/2013 - Thomas de plus en plus chou!

    Pascal et Thomas avaient l’entrainement ce soir. Je suis passée en vitesse après, pour aller prendre un verre avec eux. Pascal était crevé (encore???), il voulait rentrer et m’a proposé de passer plutôt à la maison. Pas envie. Trop loin.

    Pascal m’invite au ciné demain soir. Ça change. Pourtant, Pascal comme moi, on préfère nettement regarder les films en VO (Version Originale), confortablement installé dans son canapé. Croisé Thomas. Je ne sais pas si c’est dans ma tête, mais je trouve que Thomas est de plus en plus mignon et charmant.



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  • Dimanche, 22 septembre 2013 - 265/2013 - Parapente?

    J’ai fait exprès d’avertir les copains que dimanche, Pascal et moi ne participerions pas à la sortie d’équipe. Je n’avais pas envie de passer mon dimanche en groupe, et pas non plus à faire du sport, mais Pascal pouvait y aller s’il le voulait. Je n’allais pas le faire chier 2 jours de suite.

    Comme je m’y attendais, les 2 pouffes ne sont pas venues. On avait rendez-vous chez Thomas vers midi. On partait de chez lui pour aller faire du parapente. Parapente! Ierk, je n’aime pas ce genre de sport. Voler, c’est pas mon truc.

    Je crois que c’est Thomas qui a eu l’idée de dire à tout le monde de se retrouver chez lui. Il ne l’a pas proposé aux autres filles, et je crois qu’il avait demandé à ses copains de ne pas les inviter. Je crois que c’était pour moi qu’il avait fait ça. Trop adorable.

    Je suis donc restée chez Pascal à lire. Un dimanche comme je les aime. Tranquille et clame. J’avais laissé mon natel sur silencieux, je ne voulais pas que Caroline s’invite et perturbe ma journée. Mais, j’ai fini par me laisser atteindre par ses appels aux secours. Je suis donc passée chez elle un petit moment. 1h, après je suis rentrée.

    Caroline a essayé de nous inviter à souper chez elle le soir, proposé qu’on aille tous prendre un verre. Comme rien ne semblait marcher, elle a proposé de passer faire à manger chez Pascal. Niet, pas envie.

    En désespoir de cause, elle a proposé d’inviter tout le monde à prendre un verre chez elle, avant de sortir tous manger ensemble. Bref, elle ne voulait pas rester seule. Mais, je ne suis pas tombée dans le panneau, en la laissant m’amadouer et l’inviter à passer la soirée chez Pascal.

    Pascal est rentré vers 20h, il avait mangé avec ses potes. Il m’avait demandé si je voulais le rejoindre au restaurant, mais je préférais rester tranquille à la maison. J’ai mangé un petit truc, je n’avais pas très faim. Il avait passé une journée à faire du sport et avec ses copains, alors Pascal était de super bonne humeur, câlin et tout. Sans doute le plaisir d’avoir été au grand air! Thomas n’est pas rentré avec Pascal. Il avait probablement été voir sa copine.

    Puis, j’ai remarqué une certaine nervosité chez Pascal. Je ne sais pas, c’était comme s’il ne s’attendait pas à ce que je passe la nuit chez lui. D’ailleurs, il m’a posé la question à 3 reprises pour savoir si je restais. Ma réponse affirmative avait l’air de l’embêtait malgré son sourire.

    Il faisait semblant de s’en réjouir. Je le sais parce que je le connais bien depuis le temps…

    C’est clair que d’habitude, je file pour rentrer chez ma frangine, parce que je ne veux pas que ma famille mette son nez dans ma vie privée. Je ne veux pas qu’elle se doute que je vois quelqu’un, ni qu’elle se rende compte à quel point je suis raide dingue de ce mec, marié en plus. Les questions qui s’en suivraient me dérangeraient; "est-ce qu'il va divorcer? pourquoi ceci ou cela! Puis, les remarques du genre; il te mène en bateau ce mec, m’énerveraient.

    Parce qu’il semblait nerveux, incapable de rester en place, j’ai pensé que quelque chose le tracassait. En tous cas, quelque chose le rendait si agité. Alors, j’ai décidé de rester. Pourtant, à la base, j’avais pensé rentrer, et ça me rendait nerveuse de traîner chez lui. Ma soeur allait encore me demander où j’étais, etc, et déjà, ça me stressait. Mais encore plus de voir Pascal aussi nerveux…

    D’habitude, en rentrant, dans la perspective de passer une soirée tranquille, Pascal se serait déjà mis en training. Le fait qu’il reste habillé m’a fait me poser des questions. Voyant que je n’avais pas l’intention de partir, il a fini par aller se doucher, pour se changer et se mettre à l’aise. Je me suis demandée s’il n’avait pas eu l’intention de ressortir dès que je serais partie.

    Donc, dès que j’ai entendu la douche, j’ai fouillé ses poches. Rien. Puis, j’ai regardé dans son natel, et paf, j’ai découvert pourquoi il ne s’était pas changer en arrivant à la maison. Maud lui proposait de les rejoindre, elle et ses copines, au Bleu. J’ai aussi vu qu’ils s’étaient parlé pendant plus de 13 minutes. Puis, j’ai trouvé un message de Pascal, qui disait qu’il essayerait, mais il n’était sûr de rien. Pas un mot sur le fait que je l’attendais à la maison.

    J’ai traîné chez lui jusque vers minuit. Je crois que je l'avais assez fatigué, pour qu'il n'ait pas envi de bouger de la maison. Et surtout pas d'aller sauter sur une autre nana :)

    Quant Pascal a voulu qu’on aille se coucher, je suis partie. Au moins, c’était trop tard pour qu’il ressorte. Enfin… j’espère. J’ai attendu une petite demi-heure non loin de chez lui. Je n’ai pas vu sa voiture passer, donc, je crois que Pascal ne ressortira pas, alors je suis rentrée. Mince, c'est toujours tellement génial de faire l'amour avec lui! J'en rêve encore...



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  • Samedi, 21 septembre 2013 - 264/2013 - Du miel pour les abeilles...

    Après avoir passé toute la soirée à me torturer la tête, j’ai réussi, après un bon bain, à me détendre et présenter un visage souriant à Pascal quant il est rentré aux environs de 3h du matin. Evidemment, je n’avais pas fermé l’oeil. Il a été surpris de me voir encore debout.

    Pascal ne m’a pas donné l’impression que ça l’embêtait que je sois là. Au contraire. Peut-être un peu gêné d’arriver si tard et légèrement anxieux que je lui pose des questions. Il a voulu se mettre à me raconter sa soirée, mais c’était plutôt une suite de raisons qui expliquaient son retard.

    Je l’ai coupé en me jetant à son cou. Là, je prenais le bon exemple sur Caroline. J’ai bien fait, parce qu’il a été tout adorable, tout câlin. Comme s’il se sentait un peu coupable. Bon, Caro aurait enchaîné avec les questions, moi, je n’avais pas envie de savoir.

    De toute façon, avec la chance que j’ai, quoi que je fasse, je fini toujours par savoir sans avoir à chercher. C’était toujours comme ça, même si je ne voulais pas savoir, ou que je ne cherche pas à savoir, ça venait à mes oreilles.

    Sachant ça, on croirait que je n’ai pas besoin de le suivre autant pour savoir ce qu’il fait? Ben non. Parce que l’apprendre, c’est une chose, mais je ne le vois pas agir, ni si c’est lui qui cherche, etc. J’ai besoin de voir. J’espère toujours un jour être dégoûtée et arriver enfin à le quitter. J’ai besoin de savoir quant il me ment, comment, pourquoi. Pfff, c’est compliqué tout ça.

    Pascal m’a fait l’amour comme si j’avais été la seule femme pour lui sur terre. Le pied. C’est comme ça que je l’aime. Il m’a prise dans ses bras, couverte de bisous et traînée direct au lit. Pourtant, une seconde plus tôt, il s’excusait de rentrer si tard et d’être crevé. Il ne m’a pas paru si crevé que ça!

    Alors que je me prélassais dans ses bras, il a tenu à ce que je sache qu’il avait croisé Maud et Elodie. Hum, il a commencé par le nom de Maud. Maud avant Elodie? Tiens, tiens! Je lui ai juste demandé si j’avais des raisons de me faire du soucis? S’il y avait quelque chose dans cette rencontre fortuite qui méritait d’être signalé? Pascal a dit que non, alors j’ai hoché la tête et changé de sujet.

    Je voyais des tonnes de points d’interrogations dans ses yeux. Il s’attendait sûrement à une scène ou de longues explications, avec moultes détails. J’en avais pas envie. De mon côté, je n’étais pas sans reproche. Puis, j’aurai peut-être dû plutôt chercher la petite bête pour son intention de passer le week-end en Angleterre avec Caro. Mais, si je ne parlais pas de ça, je n’allais pas lui péter un fromage pour Elodie et Maud.

    Ça m’a un petit peu chatouillé de savoir que c’était un de ses potes qui avait mentionné à Maud où les trouver.

    J’aurai aimé que Pascal rentre, voyant comment les choses tournaient. Il savait pourtant que ça me ferait de la peine qu’il reste après tout ce qu’on avait discuté, et ce qui s’était passé cet été avec ces filles.

    Samedi après-midi, on a prévu d’aller se faire une sortie en montagne. De la grimpette. Je n’avais aucune envie d’y aller. On a retrouvé l’équipe au MGM pour le café, et ces pouffes étaient là. J’ai eu envie de faire demi-tour illico. Ça m’a énervé que les copains parlent de nos projets devant elles, comme si elles faisaient partie du groupe.Je sais bien que parfois, ils utilisent Pascal comme appât pour les filles. C'est facile et ses copains en profitent, il est déjà pris, et pourtant les filles lui tournent autour comme des abeilles!

    Je comprends bien que certains des garçons ont envi de les draguer, et cherchent à les intégrer. Hélas, je ne peux rien y faire. Quant j’ai mentionné que je n’avais pas envie d’y aller, sans me regarder, Maud a dit; “en même temps, c’est compréhensible, à ton âge, ça doit être trop physique pour toi”. Connasse.

    Au moins, Pascal a pris ma défense. Il lui a lancé un regard loin d’être gentil et a dit que ça n’avait rien à voir; j’étais juste une fille qui aimait la tranquillité. Que j’étais une artiste, que je n’avais pas le même goût pour le sport que d’autre.

    En rigolant, Maud a encore insisté; “C’est bien ce que je disais, hahaha”. Re connasse. j’aurai espéré que Pascal comprenne et décide de rester à la maison avec moi. Ou on aurait pu faire autre chose.

    Pour clore la discussion, Pascal lui a dit qu’elle serait étonné, que c’était peut-être elle qui risquait de ne pas pouvoir me suivre. Maud a simplement levé un sourcil sceptique, ce qui a fait sourire certains. Si ça n’aurait pas été ridicule, je lui aurais volontiers sauté à la gorge illico presto. Mais bon.

    C’était même pas 10h, et j’étais déjà furax!

    Pascal a insisté pour que je l’accompagne. Ça me faisait hyper super chier. Passer une après-midi aussi chaude à grimpatouiller dans les montagnes, à transpirer comme des porcs, alors que je pouvais me larver sur mon canapé à regarder la télé ou lire. Ça me faisait trop chier. Pfff. S’il n’y avait pas eu ces connes, j’aurai laissé Pascal y aller tout seul.

    Quant Thomas est arrivé, tout était déjà décidé. Il a salué Maud, Elodie et Solène par correction. Mais, il a évité de leur parler, évitant aussi soigneusement tout rapprochement. Voilà comment Pascal aurait dû se comporter, et pas continuer à faire ami-ami avec elles. Quant Maud cherchait à lui faire la conversation, même en lui posant directement une question, il ne répondait simplement pas, ou faisant celui qui n’avait pas entendu.

    Thomas était froid avec elle, limite impoli. Je le trouvais trop cool. Du coup, je trouvais que Pascal en faisait un peu trop pour être bien vu.

    Bon, tant pis si je dois passer pour la chieuse de service, mais pas question que je me farcisse ces tartes. En quittant le MGM, en se dirigeant vers les voitures, j’ai dit à Pascal que je n’avais pas envie qu’ON n’y aille. Je lui ai carrément dit que ça me faisait chier de passer mon samedi après-midi avec ces connasses.

    Pascal a essayé de me convaincre d’aller leur montrer de quel bois je me chauffe sur les rochers. Que ce serait le meilleur moyen de leur fermer le caquet. Je n’avais rien à prouver à ses connes. J’ai commencé à bouder, et j’ai insisté. Je voulais qu’on passe une après-midi tranquille, rien que tous les deux.

    De toute façon, demain on avait aussi une journée avec toute l’équipe, alors aujourd’hui, on pouvait bien rester un peu tranquille, ça faisait longtemps qu’on n’avait pas eu de moments à nous. Pascal a capituler. Arrivé vers le groupe, Pascal leur a dit qu’on rentrait. On avait décidé de faire autre chose.

    Si des yeux pouvaient brûler, j’aurai été griller. Maud m’a jeté un regard pleins de mépris. Je m’en foutais royalement. Elle pouvait bien aller se balader avec nos potes, mais celui sur qui elle voulait poser ses sales pattes ne sera pas du voyage. J’étais ravie de la voir le regarder, les lèvres toutes pincées de déception. Elodie a quand même eu le culot de venir demander à Pascal si c’était lui qui avait décidé ça, ou si c’était moi, à cause des remarques désagréables de Maud.

    J’ai répondu à sa place que c’était un peu des 2, mais surtout parce qu’on avait envi d’être tranquille. Pascal n’a rien dit, ni rien montrer. Donc, je ne sais pas ce qu’il pensait vraiment. Mais, en tous cas, dès qu’on s’est éloigné des autres, Pascal était à nouveau attentionné et adorable.

    On a flâner un moment en ville, et on a dîner avant de rentrer se prélasser comme deux grosses larves. En ville, on avait pris notre temps pour faire les vitrines, faire quelques courses. Surtout acheter du café pour moi, j’avais vider son stock.

    Caroline m’a envoyé 2 messages. Après sa dispute avec Pascal, il n’avait pas répondu à ses appels. Elle cherchait un peu de réconfort auprès de moi.

    J’aurai voulu ne pas lui répondre, mais je savais qu’elle risquait de voir qu’on était là, et je ne voulais pas qu’elle pense que je faisais exprès de la laisser de côté.

    Mais, je ne l’ai pas invitée. Je sentais que c’était ce qu’elle espérait. Caroline insistait avec ses messages, cherchait le dialogue. Pour finir, j'ai dû lui dire que je l'appellerait plus tard, qu'on était occupé, et que Pascal commençait à être agacé parce que je restais rivé à mon natel. Caroline s'est calmée après son dernier message auquel je n'ai pas répondu.



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  • Vendredi, 20 septembre 2013 - 263/2013 - Un mot et des affaires à Maud chez Pascal…

    Elodie est la fille avec qui Pascal était rentré un soir en taxi complètement H.S. Enfin, pas totalement, il avait juste un peu trop bu pour rentrer en voiture. Il avait dormi chez elle ce soir là. Pascal m’avait dit qu’il ne s’était rien passé et je l’avais cru. Et Pascal était avec elle et ses amis hier soir. Pourquoi? Je croyais que c’était terminé avec Elodie.

    C’est Caroline qui me l’a raconté. Je ne veux pas qu’on sache que je veux en savoir plus, alors je n’ai pas posé de questions. Je ne vais pas en poser à Pascal non plus. Pascal sait pourtant que ça m’énerverait. Je vais rester sur mes gardes. J’ai une sale impression, comme si quelque chose d’horrible couvait.

    Pascal et Thomas avaient un match ce soir, ensuite, ils devaient manger avec l’équipe. C’était pour la reprise de la nouvelle saison ou un truc du genre. Ce genre de soirée entre mecs se fini toujours dans un bar quelconque, à boire jusqu’à ne plus se voir les mains. J’ai demandé à Pascal s’il voulait que je l’attende à la maison. Il a paru ravi.

    Les heures passaient et je commençais à fatiguer. J’aurai dû sortir avec mes potes et rentrer vers minuit l’attendre. C’était stupide d’être plantée là depuis 20h à poireauter comme une greluche. Je savais pourtant qu’il ne rentrerait pas tôt. Ou j’aurai dû aller vers Caroline. Tout aurait été plus distrayant que ce que je faisais là.

    J’avais pris un bouquin, un bain, et j’avais enfilé une longue robe, boutonnée devant. Mais, je n’arrivais pas à m’accrocher à la lecture. Ma tête bouillonnait et allait dans tous les sens.

    J’avais peur tout à coup d’avoir pris Thomas comme amant. C’était bête, il habitait la même maison que Pascal, c’était juste impossible de se voir quant on voulait. Et pourtant, c’est celui qui me plaît le plus. Peut-être que j’aurai dû choisir Layne?

    Complètement paumée, j’ai appelé Brian. Zut, il était encore au boulot et ne pouvait pas vraiment parler. J’ai prétendu que c’était seulement pour l’entendre, qu’il me manquait. Retour dans ma tête, et je me faisais du soucis pour ce qui se passait du côté d’Elodie. Est-ce que Pascal avait toujours des sentiments pour elle? Ou est-ce que c’est cette Maud qui m’inquiétait le plus? Elle, elle est dangereuse. Je dois éloigné mon mec de ses griffes.

    Est-ce que j’étais vraiment contente d’avoir trouvé un appart? Est-ce que ça ne va pas me faire chier de le partager avec Tchoy? Ou est-ce que j’aurai voulu que Pascal insiste encore un peu plus pour habiter avec lui? Rhhh, ma tête n’en pouvait plus. Si seulement je pouvais débrancher!

    Et Pascal, ou est-il? Est-ce qu’il avait vraiment un truc avec le basket? Tssss, voilà que je perdais le nord maintenant. Bien sûr qu’il était avec son équipe, sinon Thomas serait rentré! Heu? Un vendredi? Non. Thomas pouvait tout aussi bien être sorti avec ses copains, ou avec sa nana. Non, Pascal ne pouvait pas m’avoir menti sur ce point là. Est-ce que j’en étais aussi certaine?

    J’étais terrifiée par le tour que prenait mes pensées. J’aurai voulu pouvoir m’évader dans mon bouquin et arrêter de me torturer la tête comme ça. Ça, c’est ce que j’appelle la “folie furieuse”. Zut, je me sentais mal, au bord de la nausée. Mes pensées me déprimaient. 1h du matin… Pourvu que Pascal rentre bientôt…

    2h du matin… Zut, je ferai mieux de rentrer, Pascal ne doit pas me voir dans cet état… Je ne ferai que lui pleurer dans le gilet. Puis non, si je rentre, il pensera que je lui en veux pour hier soir? Que faire?

    Puis, j’ai trouvé dans la poche d’une chemise à Pascal, qui traînait dans sa chambre un mot de Maud et une boucle d’oreille, qui faisait partie d’une paire que j’avais remarqué sur Maud;

    “Salut Beau Gosse, Si tu veux récupérer tes CD, appelle-moi, n’importe quant… surtout après les heures descentes hihi (avec un coeur dessiné). C’est entre nous deux, pas un mot à Elodie ok. Bisousssss Maud”

    Ça a fini par détruire complètement le peu de bonne humeur que je pouvais encore affiché.

    Quant est-ce qu’elle lui avait donné ça? Il ne m’en avait pas parlé? Devrais-je lui poser la question? Lui faire une scène mémorable? Détruire simplement le mot et ne rien dire?

    J’étais au bord des larmes, mais je ne pouvais pas me permettre de chialer, et qu’il me retrouve avec des yeux de poissons frits en rentrant! Je me sentais en danger. J'avais peur, et aussi, j'avais envie de dormir, là, tout de suite. Oublier. Ne plus réfléchir. Avoir la tête vide. Ne plus penser à rien.



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  • Jeudi, 19 septembre 2013 - 262/2013 - Pascal est sorti de son côté

    Ce soir, j’ai retrouvé Thomas au Time-Out. Pascal n’était pas là. Pourtant, on s’était parlé cet après-midi, Pascal m’avait dit qu’il sortirait… peut-être! J’avais juste oublié le “peut-être”. Caroline m’a dit qu’il n’était pas chez lui. Elle avait été voir avant de partir. A elle, il avait dit qu’il ne sortait pas, il n’en avait pas envi.

    J’ai passé une bonne partie de la soirée, à chercher Pascal parmi a foule du bar. J’espérais le voir arriver. Thomas l’a remarqué. Je ne sais pas pourquoi, mais je suis sûre qu’il savait où il était. Vers minuit, j’en ai eu marre, et je suis partie. Pascal ne sortirait jamais après minuit, le soir en semaine. Donc, il n’y avait aucune chance qu’il débarque après mon départ.

    Je suis passée par chez lui. Il n’y était pas encore. Suspicieuse, j’ai fait un tour du côté de chez Elodie. Pascal n’y était pas non plus. Zut. Où peut-il traîner en pleine semaine, à passé minuit! Un peu triste, je suis rentrée chez moi. J’étais naze de toute façon.

    J’avais passé la journée à courir; courses, état des lieux, etc. Vincent & Tchoy, parce qu’ils avaient perdus aux cartes hier soir, nous offraient à manger au Comptoir. Aucune envie d’y aller, je voulais voir Pascal moi.

    Caroline a fait tout le tour des endroits qu’on avait l’habitude de fréquenter. Pas de Pascal. Je lui ai envoyé un message pas très cool; Tu m’as dit que tu sortais pour m’occuper, alors que tu n’avais aucune intention de venir? Tu es avec laquelle ce soir? Sur le moment j’étais énervée, mais mon énervement est vite tombé. J'ai regretté aussitôt mon mouvement d'humeur.

    Je n’étais même pas fâchée. Pascal était sorti boire un verre avec quelqu’un d’autre, et alors? Pourquoi est-ce que je devrais me montrer fâchée? Il n’y avait aucune raison. J’ai renvoyé un message pour m’excuser, et lui dire qu’il m’avait manqué c’est tout.

    Malgré l’heure tardive, j’ai rappelé Caroline pour savoir si elle était rentrée. Et surtout, pour savoir si Pascal était rentré. Pascal est rentré vers les 2h du matin. Ça l’avait pas mal énervé de voir Caroline plantée devant chez lui à attendre. Il lui a rappelé qu’il n’avait pas de compte à lui rendre, et lui a demandé d’arrêter ce cirque.



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  • Mardi, 17 septembre 2013 - 260/2013 - journée larvesque

    Quelle vue magnifique chez ma frangine, je ne m’en lasserais jamais. Ma frangine est au boulot, la petite à l’école, j’ai l’appart pour moi toute seule. Le pied.

    Encore crevée de mon week-end, aujourd’hui, je récupère. Téléphone sur silence, rien d’autre que moi, la télé, du café et entre deux, mon lit. Ni mis le nez dehors, ni ouvert la bouche de la journée. Le nirvana. J’avais  débranché au point d’oublier d’aller bouger ma voiture pour la mettre dans le garage, et je me suis pris une amende. Poisse.

    Après le boulot, ma soeur mangeait avec Carmine, alors j’ai fait à dîner pour la petite. Une fois tout mon petit monde au lit, j’ai pu à nouveau me larver devant la télé. Carrément une journée paradisiaque. A part pour l’amende. Je regarderais demain seulement mes messages.


    Mercredi, 18 septembre 2013 - 261/2013 - Soirée Cartes avec Tchoy et Vincent

    Ce soir, on a invité Tchoy et Vincent à manger et pour jouer aux cartes. 1h du matin, ils viennent de partir. Ma frangine a été direct se coucher. Hihihi, on a joué filles contre garçons, et bien sûr, les filles ont gagnés haut la main. Après, je ne sais comment, mais Vincent a commencé à parler de sexe. Non mais… entre potes!

    Hum, je veux pas en rigoler, mais Vincent s’est vanté que les filles lui en demandaient toujours plus. Comme quoi, c’est un dieu au plumard!!! Huh huh, ben voyons! Pour lui encore, quant on fait rire une fille, elle est pratiquement déjà conquise et dans son lit! Un mythe que les hommes veulent encore croire quoi!

    Bon, il dit sauf moi. Franchement, je vois mal comment un type pourrait espérer amener une fille à coucher avec lui en se bidonnant!!!

    Donc, ils vont dans la chambre en se tordant de rire. Blagues sur blagues!!! Il descend son pantalon en riant à mort, il l'embrasse en lui racontant des blagues poilants... Bref... Très romantique!

    Aujourd’hui, j’ai été me couper les pointes. Je suis contente d’avoir raccourci mes cheveux…

    Grrh, demain,  ils veulent me traîner demain au Comptoir Suisse. J’ai dit ok, mais je sais que j’annulerai demain en temps voulu. J’ai pas du tout envie d’aller me balader au comptoir moi. C’est les perdants qui sont censé nous payer à bouffer; Papet Vaudois. Connaissant Vincent, après la bouffe, ce sera boire jusqu’à sortir de là-bas à l’équerre. Pas pour moi ça. Pas envie.

    Avec Tchoy, on a l’état des lieux, de notre futur appartement, demain à 16h… Donc, après, moi je rentre. Point barre. Arhhh, j'ai trop bu de café, j'ai la nausée! Zut, faut que je pense à avertir Brian. Il a été super de me prêter son appart, même si je ne l'utilisais pas souvent.


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